lundi 18 mai 2015

assassinat

Une veuve accusée de l’assassinat de son mari reconnait les faits
Une femme accusée d’avoir commandité l’assassinat de son mari en 2010 à Rognonas (Bouches-du-Rhône) a reconnu les faits lundi matin, tout comme son fils et un ami de celui-ci, exécuteurs présumés du contrat, lors de leur procès à Aix-en-Provence.
«Vu la confusion dans laquelle j’étais à cette époque-là, je préfère me déclarer coupable», a annoncé Roselyne Painchault, 61 ans, dès l’ouverture des débats devant la cour d’assises des Bouches-du-Rhône. A ses côtés, son fils, Arnaud Privat, 38 ans, est resté tête baissée pendant la lecture du résumé des faits, avant de reconnaître sa complicité. «Je reconnais être l’assassin de M. Lejard», a dit aussi son ami proche Christopher Munsch, 30 ans, l’air juvénile et le regard perdu derrière des lunettes. Christophe Lejard, un chef d’entreprise de 48 ans, avait été tué d’un tir de fusil de chasse à la tête, le 24 novembre 2010 au petit matin, sur le chemin d’accès de leur mas situé à Rognonas (Bouches-du-Rhône).
Les investigations avaient révélé des tensions dans le couple depuis que M. Lejard avait annoncé à sa femme son intention de divorcer. Mme Painchault, qui semblait craindre d’être lésée dans le partage du patrimoine, avait alors chargé Arnaud Privat, son fils cadet né d’un premier mariage, de recruter quelqu’un pour éliminer son mari, contre la somme de 15.000 euros, selon l’accusation. Il avait confié la tâche à Christopher Munsch. La veuve a en outre nié avoir commandité depuis sa cellule l’assassinat de M. Munsch et avoir escroqué 188.809 euros de capital décès. La co-détenue, à qui elle a ensuite reversé la somme pour «que l’argent (ne soit pas) disponible pour les parties civiles», comparaît libre pour recel. Le verdict est attendu vendredi. Les trois principaux accusés encourent la réclusion criminelle à perpétuité.
http://www.bienpublic.com/faits-divers/2015/05/18/une-veuve-accusee-de-l-assassinat-de-son-mari-reconnait-les-faits

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d'après les données, apparemment un drame de la compatibilité des périodes critiques communes : l'accusée dans sa période critique septennale des 56 ans, et la victime entrant dans celle des 49 ans. cela peut expliquer "la confusion dans laquelle était l'accusée à cette époque" et l'intention de divorcer du mari également...  le fils est alors dans son année critique intellectuelle i1... 

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