samedi 18 avril 2015

récidive

Meurtre à Amiens (Saint-Acheul) : le suspect mis en examen pour homicide volontaire avait été libéré en 2012.
 Le propriétaire de la maison où on été retrouvés dans la cour les restes d'un corps à Amiens, a reconnu avoir tué l'ancienne gérante d'un bar, disparue en 2013. Il a été mis en examen pour homicide volontaire et écroué ce 17 avril. Déjà condamné pour les mêmes faits, il avait été libéré en 2012. Interpellé mercredi 15 avril, Jean-Paul Dancoisne a reconnu en garde à vue avoir tué Chantal Croiset, 57 ans, ancienne gérante du bar Le Walter à Amiens. Il a été mis en examen pour homicide volontaire et écroué ce vendredi 17 avril. Les restes d'un corps avait été retrouvés dans la cour de sa maison du quartier de Saint-Acheul à Amiens.
 "Un coup de colère" à l'origine du meurtre Selon le procureur de la République, l'homme de 51 ans aurait reconnu avoir agi "sur un coup de colère" mais on ignore pour l'instant exactement le lien qui l'unissait à la victime. Chantal Croiset était portée disparue depuis juillet 2013. Les enquêteurs auraient retrouvé la trace du suspect grâce au portable de l'ancienne tenancière, qui a été rallumé il y a quelques jours. Au même moment, un appel à témoins était lancé par la police et le juge d'instruction. L'homme avait déjà tué Jean-Paul Dancoisne avait déjà été condamné pour homicide volontaire à 25 ans de réclusion criminelle. Après 17 années passées derrière les barreaux dans le Nord Pas-de-Calais, il avait été libéré en 2012. Depuis, il était suivi par un juge d'application des peines. D'après les psychiatres, il n'était pas atteint de maladie mentale. "Néanmoins, il n'était pas d'une totale stabilité", selon le procureur. Après ses aveux et son placement en détention provisoire, la procédure pourrait aller vite. Les résultats de l'autopsie, ordonnée ce jeudi 16 avril, devraient être connus dans les prochains jours mais tout laisse penser qu'il s'agirait bien du corps de Chantal Croiset. Source : FR3 Picardie le 17 avril 2015
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=18349&hl=

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(apparemment drame de la période critique septennale des 49 ans - pas trouvé la date du précédent homicide pour voir s'il s'agit d'une récidive septennale)

édit 26/10/2016 :

Amiens Cadavre découvert dans la cour : le suspect a déjà tué Un cadavre a été découvert mercredi dans une maison amiénoise. Il pourrait s’agir du corps de Chantal Croiset, disparue en 2013. Un suspect, au passé meurtrier, est en garde à vue. C’est dans une poubelle installée dans la cour de la maison, que les restes du corps ont été découverts ce mercredi matin, quelques minutes après l’interpellation du locataire des lieux : Jean-Pierre Dancoisne (qui se faisait appeler Jean-Paul). Cet Amiénois de 51 ans, l’unique habitant de cette maison située au 148 rue Saint-Acheul (dans le quartier du même nom à Amiens) est le principal suspect dans cette affaire d’homicide qui pourrait avoir été commis le 28 juillet 2013. Le corps pourrait être celui de l’ex-gérante du Walter Ce jour-là, Chantal Croiset, la gérante du bar le Walter rue Jules-Barni qui vit à quelques mètres de Jean-Pierre Dancoisne (au 57 rue Diderot), disparaît.(...)
 Il a déjà tué Jean-Pierre Dancoisne, 51 ans, a déjà été jugé coupable d’homicide volontaire en 1995 et condamné à plus de 15 ans de prison. Son crime : un meurtre commis à Beaumetz-lès-loges : une petite commune de 950 habitants située dans le canton d’Arras dans le Pas-de-Calais, le département du suspect. Selon nos informations, la victime de cet homicide aurait été ligotée. Pour le moment, aucune explication sur les circonstances exactes de ce dernier homicide n’a été révélée. Seul le caractère imprévisible du suspect, qui pourrait devenir particulièrement violent, a été évoqué. Source : Le Courrier Picard le 16 avril 2015
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Un article de la Voix du Nord du 18 avril 2015 Condamné à 25 ans de réclusion en 1996 Jean-Pierre Dancoisne, légèrement handicapé suite à un accident vasculaire cérébral, exerçait le métier de DJ depuis qu’il avait quitté le centre de détention de Bapaume et s’était installé à Amiens. L’homme avait en effet été condamné à 25 ans de réclusion (une peine incompressible des deux tiers) pour meurtre en récidive légale le 5 décembre 1996 aux assises de Saint-Omer (il avait été condamné à 8 ans pour viol en 1991). Le dimanche 9 avril 1995, Marie-Chantal Jayet, 42 ans, mère de trois enfants, habitant rue Malpeaux à Arras, avait disparu en allant chercher des œufs. À Mercatel, près d’Arras, elle avait rencontré Jean-Pierre Dancoisne qui l’avait amenée chez lui, rue de Bapaume, et à la suite d’une dispute l’avait rouée de coups avec une canne au bout ferré. On avait retrouvé son corps dénudé, une semaine plus tard, recroquevillé dans un sac plastique, au bord d’un chemin de campagne. Jean-Pierre Dancoisne avait été arrêté sur son lieu de travail. Il était employé à la mairie d’Arras et s’occupait de jardinage au cimetière. Au cours de son procès aux assises, en 1996, on avait évoqué sa dangerosité, une « déficience intellectuelle congénitale », mais on avait écarté la maladie mentale.
http://www.skcenter.be/phpbb/viewtopic.php?f=32&t=194&sid=9c57a39dbe70cddc7aa65b5112655261
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apparemment un drame de la période critique septennale des 49 ans : à voir si récidive du jour critique émotionnel car il s'agit du même jour (dimanche) que le meurtre précédent. (les récidives ont tendance à avoir lieu lors d'épisodes cycliques identiques ou équivalents. le jour du viol en 1991 peut également être vu à la lumière des rythmes et cycles humains.

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