juge jugé

Jacques Delisle (born 1935, Montreal, Canada) is a Canadian judge who sat on the Quebec Superior Court from 1985 to 1992, and on the Quebec Court of Appeal from 1992 until his retirement in 2009. In June 2010, he was arrested and charged with murder, in connection with the November 2009 death of his wife Marie-Nicole Rainville (Wikipédia)

(décès 12 novembre 2009)

Jacques Delisle
Firstname: Jacques Name: Delisle Gender: M Occupation: Juge Born: ****
Notes, etc. baptisé 6 mai 1935, Montréal, Joseph-Roch-Jacques né le 4 du courant fils de Roch Delisle, ingénieur forestier et Cécile Miller
http://www.nosorigines.qc.ca/GenealogieQuebec.aspx?genealogy=Jacques_Delisle&pid=1026823&lng=en

une date de naissance du 4 mai 1935 donne un jour neutre le jour du drame (12 novembre 2009) pour Jacques Delisle.


ce n'est pas le cas de l'épouse, qui se trouvait alors dans un épisode critique particulièrement fort :
lendemain du jour critique intellectuel i9,  épisode critique physique P18/P19 et jour critique émotionnel E22, au sortir de la période critique septennale des 70 ans, à cinq mois de son anniversaire.


Marie Adela Nicole RAINVILLE Born 14 Apr 1938 Québec,
 Died 12 Nov 2009 Québec,
http://www.tiernan-poudrier.ca/getperson.php?personID=I20028&tree=tree2


12 novembre 2009 (14/04/1938)
Sa 7
Di 8
Lu 9
Ma 10
Me 11 I(9)
Je 12 P(18) E(22)
Ve 13 P(19)
Sa 14
Di 15
Lu 16
Ma 17

la situation cyclique des deux personnes le jour du drame pourrait donc effectivement aller dans le sens expliqué ici : 
http://www.ledevoir.com/societe/justice/434769/l-ex-juge-jacques-delisle-aurait-menti-a-la-police-sur-la-mort-de-sa-femme

L’ex-juge Delisle aurait aidé sa femme à se suicider
Jacques Delisle aurait confié avoir menti aux policiers en disant qu'il s'agissait d'un suicide parce qu'il avait peur de la réaction de famille.
L’ex-juge québécois Jacques Delisle, reconnu coupable du meurtre de sa femme, dit avoir menti sur les circonstances de sa mort et soutient maintenant l’avoir aidée à s’enlever la vie, selon ce que rapporte Radio-Canada. Jacques Delisle n’avait pas témoigné à son procès. La thèse présentée par son avocat était que son épouse s’était suicidée. Le procureur de la Couronne avait pour sa part plaidé que Jacques Delisle s’était débarrassé de sa femme pour vivre avec sa maîtresse et éviter un coûteux divorce. L’homme a été condamné à la prison à perpétuité en 2012. Ses tentatives pour faire casser cette décision, d’abord en Cour d’appel puis à la Cour suprême du Canada, ont échoué.
Dans une entrevue accordée à l’émission Enquête de Radio-Canada, l’ex-magistrat de la Cour d’appel admet avoir aidé Nicole Rainville à se suicider avec une arme. Selon cette nouvelle version, sa femme lui aurait demandé un jour de novembre 2009 d’aller chercher son pistolet. Dépressive et paralysée du côté droit, elle lui aurait dit ne plus vouloir vivre. Jacques Delisle aurait chargé lui-même l’arme avant de la lui remettre. Il soutient dans cette entrevue avoir tenté de la dissuader, avant de quitter leur résidence. Nicole Rainville, âgée de 71 ans, a ensuite été retrouvée sans vie avec une balle dans la tête.
Il aurait confié avoir menti aux policiers en disant qu’il s’agissait d’un suicide — sans plus — parce qu’il avait peur de la réaction de sa famille. Aider une personne à se suicider est par contre aussi un acte criminel, passible d’un emprisonnement maximal de 14 ans. (...)

édit pour quelques données qui peuvent également être intéressantes :
http://ici.radio-canada.ca/nouvelles/societe/2015/03/19/007-jacques-delisle-ex-juge-avoue-aide-femme-suicide.shtml

14 avril 2007
À 69 ans, Nicole Rainville, l’épouse de Jacques Delisle, est frappée par un accident vasculaire cérébral (AVC) qui la laisse paralysée du côté droit du corps. Elle doit se déplacer en fauteuil roulant ou avec une marchette. (jour de son 69ème anniversaire (née 14/04/1938) et jour critique physique P18 = même jour critique que le jour de son décès)(approche puis entrée dans la période critique septennale des 70 ans = possible dépression septennale)

12 novembre 2009
En début de matinée, Jacques Delisle et Nicole Rainville se disputent. M. Delisle dit être sorti pendant une heure pour faire des commissions et avoir retrouvé sa femme morte d'une balle dans la tête à son retour. Il appelle le 9-1-1 et affirme que Mme Rainville s'est suicidée. Lors de l'autopsie pratiquée en soirée, le pathologiste s'explique mal la présence d'une tache dans la main gauche de Mme Rainville.
(le jour critique émotionnel est le jour "naturel" des colères et des disputes : Mme Rainville s'y trouve, ce jour-là - jour critique émotionnel E22)