crash A320

Crash A320 : le copilote Andreas Lubitz, 28 ans, a eu "une volonté de détruire cet avion" Le copilote, un Allemand de 28 ans nommé Andreas Lubitz, était aux commandes de l'Airbus de la Germanwings. Il a refusé d'ouvrir au commandant de bord. Il a respiré jusqu'au bout et a actionné le bouton pour que l'avion entame sa descente. L'hypothèse d'un acte volontaire est devenue prioritaire.(...)
http://www.lecho.be/detail.art?a=9615650&n=8016&ckc=1
*1987
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on semble s'acheminer vers un drame de la période critique septennale des 28 ans, probablement un suicide septennal...
la situation des cycles courts nous en dira certainement plus, mais il nous faut attendre de connaître la date de naissance. 
on sait aussi que "ce dernier avait fait une pause de plusieurs mois il y a six ans, durant sa formation, pour une raison inconnue" donc une pause lors de la période critique septennale précédente... (six mois d'arrêt pour "burn out" selon certains articles de presse : il pourrait donc s'agir d'une "rechute" - compréhensible voire prévisible - puisque la période critique septennale suivante...)



édit :
Lubitz wurde am 28. Dezember 1987 geboren...
Wer war der Copilot von Flug 4U 9525? - weiter lesen auf Augsburger-Allgemeine: http://www.augsburger-allgemeine.de/panorama/Wer-war-der-Copilot-von-Flug-4U-9525-id33511832.html
Flug 4U9525 am 24. März...

situation du co-pilote : (27 ans et 3 mois = à l'entrée de la période critique septennale des 28 ans)

24 mars 2015 (10h) (28/12/1987)
Je 19
Ve 20
Sa 21
Di 22
Lu 23 P(12) E(8)
Ma 24
Me 25 I(17)
Je 26
Ve 27
Sa 28

pas de jour critique le jour-même, mais dans un épisode triplement critique. devraient avoir joué un rôle, le jour critique émotionnel E8, la veille (les suicides ont tendance à avoir lieu ce jour-là ou à côté de ce jour) ainsi que le jour critique intellectuel i17 le lendemain. (celui-ci - que je pensais trouver - joue un rôle important dans la désinhibition)



édit 27/03 :
pour une autre date de naissance trouvée notamment sur Wiki (donc attendre probablement confirmation)(Newspaper reports date of birth 18 Dec 1987, no time. The NYT quotes this date as coming from Düsseldorf officials. Some media claim 28 December.)
elle infirmerait éventuellement mon "pas de jour critique le jour-même" (ce qui m'a un peu étonné, d'où la poursuite de mes recherches) et confirmerait mon "celui que je pensais trouver" car plus "conforme" à la situation dramatique d'un coup de folie : jour critique intellectuel i26 - jour critique du cerveau - le jour-même !

24 mars 2015 (18/12/1987)
Sa 21
Di 22
Lu 23
Ma 24 I(26)
Me 25 P(1)
Je 26
Ve 27 E(22)
Sa 28
Di 29



édit 29/03 :
Crash de l'A320 : minute par minute, ce qui s'est passé dans le vol 4U9525
(...)
10 h 1. L'Airbus A320 immatriculé D-AIPX, de la compagnie allemande low cost Germanwings, filiale de Lufthansa, décolle avec une vingtaine de minutes de retard de l'aéroport de Barcelone. Destination : Düsseldorf, dans l'ouest de l'Allemagne, où il doit atterrir à 11 h 55. 
"Durant les vingt premières minutes du vol, les deux pilotes échangent de façon tout à fait normale, et même de façon courtoise et enjouée", selon Brice Robin. Bild confirme cette atmosphère détendue entre les deux hommes : selon le journal, le commandant, Patrick S., explique notamment à son copilote qu'il n'a pas eu le temps d'aller aux toilettes avant le décollage. 

10 h 27. L'appareil atteint son altitude de croisière (environ 11 600 mètres), rapporte Bild. Le pilote demande alors à Lubitz de préparer l'atterrissage à Düsseldorf. Ce dernier prononce quelques mots : "J'espère, on verra." "Les réponses du copilote semblent laconiques", avait expliqué Brice Robin. Ensuite, Andreas Lubitz dit au commandant qu'il peut "maintenant" aller aux toilettes. Deux minutes s'écoulent, selon Bild, et le commandant confirme à son copilote qu'il peut "prendre les commandes". Andreas Lubitz est alors seul aux commandes. Il le restera jusqu'à la fin. 
(...)
http://www.lepoint.fr/societe/crash-de-l-a320-minute-par-minute-ce-qui-s-est-passe-dans-le-vol-4u9525-29-03-2015-1916834_23.php

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en présence de ce dialogue, peut-on dire que Lubitz a décidé de passer au crash de façon "opportuniste" en improvisant "sur le champ" (crash dont l'idée était toutefois présente dans sa tête depuis un moment : il lui aurait donc fallu attendre qu'une occasion se présente) 
les mots "j'espère, on verra" pourraient dénoter que Lubitz hésitait encore ?
c'est apparemment lui qui ensuite a proposé au commandant d'aller aux toilettes à ce moment-là... 
 mais que se serait-il passé si le commandant n'avait pas eu besoin de s'absenter du cockpit pour aller aux toilettes (le vol ne durant qu'environ 2 heures si j'ai bien suivi) ? peut-être n'y aurait-il pas eu de crash ? aurait-il attendu un vol suivant ? ou ne serait-il pas passé à l'acte ? (car les conditions cycliques psychiques ne sont pas souvent réunies - ici le jour critique intellectuel qui coïncidait avec le jour du vol...)
et que se serait-il passé si la pause-toilettes du commandant avait eu lieu au-dessus d'une ville ?