drame familial

Mutter der getöteten Mädchen sitzt in Untersuchungshaft
In Köngen in Baden-Württemberg sind zwei sieben und zehn Jahre alte Schwestern getötet worden. Die Mutter soll ihre Töchter getötet haben. Die Kripo sucht indes noch nach weiteren Beweisen.
Nach der mutmaßlichen Tötung ihrer beiden Töchter muss sich eine 41-Jährige aus Köngen (Kreis Esslingen) für die grausame Tat verantworten. Die Mutter der sieben und zehn Jahre alten Mädchen sitzt seit Montagnachmittag in Untersuchungshaft. Anders als zuerst angenommen schätzt die Staatsanwaltschaft die Frau doch als schuldfähig ein. Die Tatverdächtige gehöre in ein Gefängnis und nicht in eine psychiatrische Klinik, sagte eine Sprecherin der Anklagebehörde in Stuttgart. Der Haftrichter bestätigte den Haftbefehl. (...) Wie genau die Mädchen ums Leben kamen, wurde jedoch vorerst nicht bekannt. Wenn Mütter ihre Kinder töten, löst das immer große Fassungslosigkeit aus. Im Oktober hatte ein Fall bei Ulm für Entsetzen gesorgt, bei dem eine 36-Jährige ihre elf Jahre alte Tochter mit mehreren Messerstichen getötet haben sollte. Nachdem die Frau mit einem Messer in der Hand und blutverschmiert auf der Autobahn 8 bei Nellingen (Alb-Donau-Kreis) gesehen worden war, entdeckte die Polizei die Leiche des Kindes und den lebensgefährlich verletzten Bruder. Das Motiv für die Tat ist noch immer unklar.
http://www.abendblatt.de/vermischtes/article133935806/Mutter-der-getoeteten-Maedchen-sitzt-in-Untersuchungshaft.html

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la mère de 41 ans qui a tué, dimanche, ses deux filles âgées de six et dix ans a été considérée responsable de ses actes et emprisonnée. 
déjà en octobre dernier c'est une mère de 36 ans qui a mortellement poignardé sa fille de 11 ans, et grièvement blessé son garçon.
les motivations ne semblent à l'heure actuelle pas clairement connues.

en fait les deux drames ont en commun qu'il s'agit de drames de la période critique septennale (probablement comme la plupart des drames familiaux) et et il faut s'intéresser aux cycles psychiques humains pour avoir des éléments de réponse... 
il faut notamment aussi regarder la situation des cycles courts, le jour du drame car un acte d'une telle gravité ne peut généralement pas intervenir s'il n'y a pas au moment donné un élément qui permette d'outre-passer la raison et les inhibitions, une sorte de "laisser-agir". on trouve alors le plus souvent certains jours critiques surtout des cycles émotionnel de 28 jours et/ou intellectuel de 33 jours. 
il faut savoir aussi que les périodes critiques septennales n'apparaissent pas forcément clairement (ici celle des 42 ans, dans laquelle entre la mère de 41 ans, et celle des 35 ans dont sort en principe la mère âgée de 36 ans).
c'est que les drames qui arrivent sont d'une part liés aux périodes critiques longues, mais aussi aux éléments critiques des cycles courts qui défilent ; en outre la situation de désespoir peut durer pour tout un tas de raisons et la personne peut craquer et passer à un acte désespéré à l'entrée dans une période critique, (appartemment le cas ici) mais aussi durant celle-ci ou encore après celle-ci (le second drame cité) donc épisode critique assez long, et dont la personne n'a pas réussi à s'extraire...
pour cela, toujours grande prudence dans nos réactions en période critique septennale (ou autour de ces périodes et en jour critique aussi) cet épisode pouvant modifier notre perception des choses et nos échelles de valeurs...