mardi 30 septembre 2014

triple meurtre

Triple meurtre de la maison éclusière d'Illfurth : le procès s'est ouvert à Colmar
Le procès d’un homme de 34 ans, jugé pour avoir tué avec une carabine son épouse, son beau-frère et sa belle-soeur une nuit de juillet 2012 près de Mulhouse, s’est ouvert lundi devant la cour d’assises du Haut-Rhin à Colmar.
Mickaël Kersten comparaît pour avoir donné la mort à sa femme Angélique, alors âgée de 29 ans, ainsi qu’au frère de celle-ci, Roland Basso, et à son épouse Carine. Le triple meurtre avait eu lieu au domicile de Roland et Carine Basso, une petite maison éclusière à Illfurth (Haut-Rhin). L’accusé, un ancien ouvrier et chauffeur-livreur qui a tenté de se suicider en prison, ne s’est pas exprimé sur les faits lors de la première journée d’audience. Le verdict est attendu mercredi.
 Selon ses déclarations lors de l’instruction, Mickaël Kersten vivait mal le fait de vivre depuis quelques mois en Alsace, région de sa nouvelle épouse, ce qui l’avait éloigné de son fils de 6 ans né d’une première union, resté en Bretagne où il vivait précédemment.
 La nuit des meurtres, alors qu’il venait d’arriver avec sa femme pour séjourner chez son beau-frère et sa belle-soeur, il avait d’abord songé à se suicider, mais avait finalement abattu dans leur lit tous les adultes présents dans la maison. L’homme était mort sur le coup, les deux femmes après leur transfert à l’hôpital. Il n’avait en revanche pas tiré sur son beau-fils de 8 ans, ni sur son bébé de neuf mois, ni sur les deux enfants du couple Basso, un garçon de 12 ans et une adolescente de 14 ans. C’est cette dernière, paniquée, qui avait appelé les secours. Aujourd’hui âgée de 16 ans, la jeune fille est venue lundi raconter à la cour, dans une ambiance émouvante et pesante, comment elle avait découvert son père mort et sa mère agonisant dans leur chambre, et comment l’accusé l’avait menacée avec un couteau avant de prendre la fuite. Quelques heures plus tard, le meurtrier présumé avait lui-même appelé la police et s’était laissé interpeller, en expliquant avoir «pété un câble».
http://www.dna.fr/actualite/2014/09/29/un-homme-juge-a-colmar-pour-un-triple-meurtre-familial

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les "pétages de cable" ont tendance à avoir lieu le jour critique émotionnel ou intellectuel (ce dernier "jour critique du cerveau"). en outre nous nous trouvons, à 32 ans, dans l'année critique intellectuelle i1 qu'est la 33ème année de vie. (naissance 1980 date non trouvée)

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