Nancy : le violeur arrache son bracelet électronique et s'enfuit
Un homme âgé de 48 ans, domicilié à Nancy, a rompu son bracelet de surveillance électronique, ce mercredi matin. Il avait été condamné à une lourde peine en 2001 pour viols....
Une bombe à retardement en liberté ? Depuis hier matin vers 7 h, cet homme originaire du sud de la France a endossé le statut d’évadé. Un an, jour pour jour après avoir été placé sous bracelet électronique à Nancy, le détenu a rompu son mouchard. Un dispositif qui lui avait été fixé à la cheville par la justice dans le cadre d’un aménagement en fin d’une lourde peine.
Un boîtier recevant des informations émises par ledit bracelet est installé au domicile de la personne surveillée. Si cette dernière ne se trouve pas à son domicile (et donc hors du champ de réception du boîtier) dans les plages horaires strictes qui lui ont été imposées, une alarme se déclenche au centre de surveillance de la pénitentiaire. Après vérifications, l’alerte est donnée aux autorités.
Âgé de 48 ans, l’individu a déclenché cette alarme avant de prendre la fuite. Il reste considéré comme dangereux. Il avait été condamné par d’autres juridictions à de la réclusion criminelle après des faits de viols et de pédophilie mais semblait en bonne voie de réinsertion. Reste que depuis hier, il a porté un sérieux coup de canif dans le contrat de confiance passé avec la justice.
Sous le coup d’un mandat d’arrêt délivré par un juge d’application des peines du tribunal de grande instance de Nancy, le quadragénaire est depuis hier matin recherché par toutes les patrouilles de police et gendarmerie que comptent Nancy et son agglomération. Pour autant, il n’est pas impossible que ce Nancéien d’adoption, domicilié dans un appartement du quartier de la rue Sainte-Catherine, ait quitté la ville. Son portrait fait l’objet d’une diffusion nationale
Source : L'Est Républicain le 12 juin 2014
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=20420&hl=
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l'entrée dans une période critique septennale (ici celle des 49 ans) est un épisode de pulsions : cela peut expliquer ce comportement et la fuite... et il y a bien entendu danger de récidive, effectivement, les faits arrivés vers 2001 (date non précisée) semblant remonter à la période critique septennale des 35 ans...
si l'on prend en compte les cycles psychiques humains, une attention particulière pourrait être accordée aux personnes "à risque", alors que leur arrivent des "épisodes à risque" comme les jours ou périodes critiques : ce serait dans l'intérêt de la société mais aussi de la personne concernée à qui cela pourrait parfois éviter de réduire à néant un "contrat de confiance" à cause d'éléments pulsionnels...
(ss réserve p.les données car trouvé plusieurs âges)
ces rythmes qui déterminent notre forme et nos humeurs et parfois mènent à des actes incontrôlés...
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