samedi 7 juin 2014

suicide

Une jeune mère de famille se suicide à la prison de Nantes
Le suicide d’une femme de 29 ans à la maison d’arrêt de Nantes, ouverte en juin 2012, ravive le débat sur le « manque d’humanité » des nouvelles prisons.
Le quartier femmes de la maison d’arrêt de Nantes (Loire-Atlantique), qui abrite 59 personnes condamnées ou prévenues, vient de connaître son premier suicide. Il s’agirait d’une femme de 29 ans en attente de jugement, originaire du Sud de la France et mère de 4 enfants. « Elle était isolée de sa famille et avait fait une demande de transfert à la prison des Baumettes à Marseille », raconte Anna Champin, représentante locale du GENEPI (groupement étudiant national d’enseignement aux personnes incarcérées), qui a divulgué l’information.
Cette détenue participait à un atelier de jardinage organisé chaque semaine par le GENEPI dans le potager de la cour de promenade. Un petit carré de terre où poussent salades, fraises, persil et quelques fleurs. « Elle avait déjà fait des tentatives de suicide, poursuit Anna Champin. Ce qu’on déplore, c’est qu’elle était seule dans sa cellule au moment des faits et qu’elle n’a pas été suffisamment suivie ».(...)
http://www.la-croix.com/Actualite/France/Une-jeune-mere-de-famille-se-suicide-a-la-prison-de-Nantes-2014-06-06-1161717

==========================

probablement remonter à la période critique septennale des 28 ans... pour tenter de comprendre ce qui s'est passé, y compris éventuellement pour les éléments à l'origine de l'emprisonnement...
nos périodes critiques peuvent avoir parfois une forte incidence sur nos comportements en tout genre...

Aucun commentaire: