samedi 21 juin 2014

cannibale

A Longwy, une femme cuisine le coeur, le nez et les organes génitaux de son mari
Les cas de cannibalisme sont extrêmement rares en France. A ma connaissance on dénombre cinq autres affaires depuis ces dix dernières années. Le cannibale de Nouilhan, un tueur parricide en Haute-Marne, le prisonnier Nicolas Cognain surnommé le "Cannibale de Rouen", un autre détenu de la centrale de Saint-Maur dans l'Indre, ainsi que le "Vampire Nanterre".
 Voici comment l'AFP raconte ce cas encore plus rare d'une femme supposée cannibale : " Une septuagénaire interpellée fin mai pour le meurtre de son mari de 80 ans dans l'est de la France a été jusqu'à cuisiner dans une casserole le coeur, le nez et les organes génitaux de la victime, a-t-on appris vendredi de source proche du dossier. Les faits se sont produits dans la nuit du 21 au 22 mai dans la localité de Longwy. La femme de nationalité algérienne, 71 ans, mère de dix enfants, avait été interpellée rapidement, les vêtements souillés de sang et de restes biologiques de son mari, ouvrier dans la sidérurgie. Les enquêteurs avaient d'emblée constaté que la victime avait été tuée à coups de pilon de mortier à épices, avant d'être dépecée et éviscérée. Ils ont par la suite établi que la meurtrière présumée avait fait "cuire le coeur, le nez et les organes génitaux dans une casserole", a précisé à l'AFP une source proche du dossier. "Mais on ne sait pas si elle les a mangés". "C'est Hannibal Lecter au féminin", a commenté cette source. "Manifestement, on est face à une crise de folie, non pas douce, mais furieuse", a commenté l'avocate de la suspecte, Me Caroline Depretz, qui a indiqué que sa cliente souffrait "de troubles délirants". La suspecte était restée muette en garde à vue. Elle a depuis été placée dans l'unité psychiatrique d'un centre pénitentiaire, dans l'attente d'expertises qui devront établir si elle peut être soumise à une sanction pénale. "Avant les faits, il semble qu'elle avait des troubles de la personnalité qui n'ont pas été pris en charge. On peut se demander si elle n'a pas complètement perdu la tête", a insisté son avocate, en évoquant "des troubles hallucinatoires". "Selon certains, elle disait avoir peur" de son mari, "mais depuis les faits, elle ne s'explique pas et ne donne aucun mobile", a précisé une source proche de l'enquête."

 L'AUTRE CANNIBALE DE LA MEUSE : (...)Le retraité vivait sous le même toit que son fils, Jean-Pierre, 49 ans, qui a été placé en garde à vue mercredi à la gendarmerie de Commercy. (...)
http://www.au-troisieme-oeil.com/index.php?page=actu&type=skr&news=43942

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le cannibalisme aussi a souvent un lien avec les cycles psychiques humains et leurs épisodes de pulsions : ici cela semble être le cas pour les deux drames cités... période critique septennale des 70 ans pour la dame de Longwy, et période critique septennale des 49 ans pour Sorcy Saint Martin.

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