lundi 26 mai 2014

rival

Le fait divers du jour : le mari jaloux défigure son "rival"
Par jalousie, un Bordelais de 34 ans a violemment agressé celui qu'il soupçonnait de fréquenter son épouse. Bilan, un visage défiguré par un objet tranchant.
 Quand la jalousie prend le dessus sur l'amitié. Samedi matin à Bordeaux, un homme s'en est violemment pris à un proche, lui assénant des coups avec un objet tranchant, et a entraîné 21 jours d'incapacité de travail. En cause ? Une relation supposée avec sa femme, avec laquelle une instance de divorce est en cours, comme le raconte le quotidien Sud-Ouest. La scène se déroule en fin de matinée, quand le mari jaloux, un Bordelais de 34 ans, croise celui qu'il soupçonne de fréquenter sa femme. L'agresseur vit des mauvais jours : sa consommation d'alcool a augmenté avec ses tracas conjugaux, et il n'a plus vraiment de chez lui. Une mauvaise passe qui, peut-être, explique son coup de folie. En croisant son "rival", une rixe éclate dans la rue avant de se poursuivre dans un bar. Sa femme menacée Des coups de poings sont échangés, jusqu'à ce que le mari se saisisse d'un objet tranchant. Couteau ou cutter, les enquêteurs se posent encore la question. Seule certitude : deux plaies traversent le visage de sa victime, du front jusqu'aux joues. Transporté d'urgence à l'hôpital, l'homme de 28 ans est opéré. Des séquelles motrices et physiques devraient figer dans le temps cet instant de jalousie compulsive. Selon Sud Ouest, le trentenaire a été placé en garde à vue pour violences avec arme et donnant lieu à une ITT supérieure à huit jours. Il devrait être jugé dès ce lundi dans ce dossier où les éléments semblent jouer en sa défaveur : il avait déjà menacé de s'en prendre à sa femme, il y a quelques jours.
http://www.metronews.fr/info/le-fait-divers-du-jour-bordeaux-le-mari-jaloux-defigure-son-rival/mnez!npul6bOK4c0jc/

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compatibilité septennale chez les deux personnes, l'agresseur (surtout : ce qui peut expliquer la séparation, la mauvaise passe qui explique peut-être son coup de folie... à voir le jour critique émotionnel, encore...) l'agresseur entre dans sa période critique septennale des 35 ans, alors que la victime se trouve dans la sienne des 28 ans...  

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