Le violeur présumé de deux mineures dans le parc de Saint-Cloud vient d'être arrêté et confondu grâce à son ADN.
La justice s’est donnée tous les moyens pour remonter la piste du violeur de deux adolescentes, âgées de 15 ans, dans le domaine national de Saint-Cloud (Hauts-de-Seine). Des faits qui remontent à l’été 2013.
Selon nos informations, un suspect a été interpellé mardi 22 avril à Suresnes par les enquêteurs de la police judiciaire départementale.
L’homme, âgé de 37 ans, a été confondu grâce à son ADN. Malgré cet élément biologique, le suspect, sans profession, mais cultivant un jardin ouvrier sur le domaine, a nié en bloc.
Mis en examen pour viols sur mineurs de 15 ans, il a ensuite été placé en détention provisoire.
Le 29 août 2013, vers 22h30, deux amies qui se promènent dans le parc de Saint-Cloud sont abordées par un inconnu qui se présente comme étant employé comme gardien dans le domaine. L’homme leur propose rapidement de les raccompagner vers la sortie du parc avant la fermeture.
24 hommes ont été soumis à des prélèvements génétiques
En confiance, les deux jeunes filles se laissent guider tandis que leur mystérieux accompagnateur éclaire leurs pas avec une lampe-torche. Soudain, l’homme se fige puis leur intime l’ordre de se dévêtir tout en les menaçant avec un couteau. «Il a violé ces deux jeunes filles à plusieurs reprises, confie une source proche de l’affaire. Il a ensuite pris la fuite tandis que les deux victimes se sont immédiatement rendues à la police».
Prises en charge par les secours, les deux adolescentes ont accepté de se soumettre à des prélèvements dans le but d’isoler l’empreinte génétique de leur violeur. Un ADN masculin, non référencé dans le fichier national automatisé des empreintes génétiques (Fnaeg), a été relevé sur les deux victimes.
Toujours selon nos informations, après plusieurs mois d’investigations, un prélèvement biologique de masse a été décidé par la juge d’instruction en charge de cette affaire, auprès du personnel intervenant sur le site ainsi que les personnes y cultivant des jardins ouvriers.
Ainsi, 24 hommes ont été soumis à des prélèvements. «Il est rapidement apparu que l’auteur des faits étaient un habitué des lieux, poursuit la même source. Il semblait savoir s’y déplacer sans difficulté, même dans l’obscurité. Un suspect a donc été identifié à la suite de ces 24 prélèvements».
Au cours des perquisitions de son logement ainsi que du cabanon attenant à son jardin ouvrier, les enquêteurs de la PJ ont mis la main sur une veste de parka, plusieurs couteaux ainsi qu’une lampe électrique correspondant à ceux de l’auteur, le soir des faits. Présenté derrière une glace sans tain aux victimes, le suspect a également été formellement reconnu par les deux jeunes filles.
Source : Le Parisien le 25 avril 2014
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