Un policier carolo condamné à 18 ans de réclusion
Jean-Luc Duquene, ancien policier à la zone de police de Charleroi, a été condamné vendredi à dix-huit ans de réclusion après avoir été reconnu coupable de l'assassinat de Jean-Louis Pottier, le compagnon de son ex-femme, Christine Chauvaux, le 20 décembre 2010 à Florennes. (...)
Ils ont aussi retenu la fragilité psychique de l'accusé et la grande souffrance psychologique dans laquelle il était après l'échec de sa vie de couple.
Jean-Luc Duquene a vécu durant trente ans avec Christine Chauvaux. Trente années marquées par des mésententes récurrentes entre le couple. Jean-Luc Duquene étant décrit comme casanier, râleur, défaitiste et violent verbalement avec son épouse. Elle étant qualifiée au contraire de beaucoup plus sociable.
En janvier 2008, c'était la goutte d'eau qui a fait déborder le vase: alors que sa mère était gravement malade, son mari n'avait montré aucun intérêt ni aucun soutien. Elle avait alors décidé de le quitter. Quelques mois plus tard, en juin 2008, elle avait rencontré Jean-Louis Pottier. Un homme avec qui elle était beaucoup plus heureuse et épanouie d'après ses proches.
Jean-Luc Duquene éprouvait des difficultés à digérer la séparation. Les avocats des parties civiles avaient même plaidé que c'était un "crime de fric" car l'ancien couple ne parvenait pas à s'entendre sur la séparation des biens, et l'influence éventuelle de Jean-Louis Pottier dans leurs affaires avait attisé la colère de l'accusé. Il avait fait part de son intention, notamment à sa soeur, de tuer Jean-Louis Pottier.
Le 20 décembre 2010, il est allé chercher son arme de service, a bu l'équivalent d'une bouteille de vin, et s'est rendu dans la boutique de son ex-épouse rue du Chapitre à Florennes, où se trouvait Jean-Louis Pottier. Il a tiré trois balles dans sa direction, deux le touchant mortellement.
Jean-Luc Duquene avait quant à lui été grièvement blessé au crâne. Il avait d'abord dit qu'une balle avait ricoché puis qu'il avait tenté de se suicider. Une version à laquelle les parties civiles ne croyaient pas trop. L'accusé et son avocat avaient pourtant soutenu cette tentative de suicide. "Par rapport aux infractions, ça ne change rien", avait fait remarquer l'avocate générale, qui voulait bien reconnaître que Jean-Claude Duquene était en grande souffrance et dépressif mais que ça ne justifiait pas son acte. Elle avait requis au moins vingt ans de prison. Jean-Luc Duquene a un casier judiciaire vierge, ce qui constitue une circonstance atténuante.
Me Donatangelo avait plaidé jeudi la démence passagère de son client. Il ne l'avait pas plaidée jusque là, pas même aux audiences en chambre du conseil. Mais son argument n'a pas convaincu les jurés vendredi. Les parties civiles et l'avocat général ont expliqué, en détails, vendredi les raisons pour lesquelles l'accusé n'était pas dément et pourquoi il était tout à fait responsable de ses actes.
Au terme de cinq jours de procès, Jean-Luc Duquene, âgé de 59 ans, écope donc de dix-huit ans de prison.
Source : Belga le 18 janvier 2014
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=8990&hl=
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d'après l'âge indiqué il semble s'agir d'un drame de la période critique septennale des 56 ans...
jour critique émotionnel ?
ces rythmes qui déterminent notre forme et nos humeurs et parfois mènent à des actes incontrôlés...
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