dimanche 29 décembre 2013

similitudes

curieuses similitudes pour deux drames arrivés récemment, celui de Berck (bébé abandonné sur la plage) et celui de cette mère qui a noyé son bébé dont elle venait d'accoucher... dans un lac des Landes...

dans les deux cas la mère a caché le drame à son compagnon
les enfants n'étaient pas déclarés
les deux femmes se trouvent dans, ou au sortir d'une période critique septennale (28 et 36 ans)
les deux compagnons également (29 et 63 ans)
le bébé a été en quelque sorte "retourné à l'envoyeur" sous entendu peut-être au paradis en le remettant à l'eau...
dans les deux cas les motivations semblent futiles et difficiles à expliquer : l'enfant aurait été un obstacle à la relation du couple, ou encore il existait des difficultés financières pour l'élever...

un autre drame récent concerne également un abandon, celui d'une fillette de 11 ans que la mère a déposée dans la rue devant l'habitation du père... puis s'en est allée, se suicidant deux jours après...
dans ce cas je n'ai pas trouvé l'âge des parents, (surtout celui de la mère) mais j'ai tendance à penser que là aussi une période critique septennale pourrait ne pas être étrangère au drame arrivé.

si l'on veut tenter de comprendre et expliquer les drames de ce type, mais aussi une grande partie des drames humains qui nous arrivent, il faut nous intéresser à certains de nos cycles psychiques : ce sont eux qui induisent à intervalles plus ou moins réguliers des épisodes particuliers car "épisodes pulsions" (jours ou périodes plus longues) devenant parfois épisodes de fragilisation, lors desquels nous pouvons être poussés à agir et surtout à remettre en cause, tout en étant simultanément (cela fait partie du mécanisme dans un but de plus grande efficacité) désinhibés dans nos réflexions et nos actions. ce qui peut, exceptionnellement, avoir des conséquences dramatiques...
cela ressemble parfois à une sorte d'ivresse (j'appelle parfois ces épisodes l'ivresse du jour ou de la période critique) car nos perceptions et nos paramètres, voire notre état de conscience peuvent en être momentanément modifiés.
ce n'est bien sûr et heureusement pas systématique mais là où le drame arrive ce mécanisme est souvent présent et pour bonne partie en cause.
c'est ce qui explique par exemple que certaines personnes peuvent, à certains moments de leur vie, tuer (aussi se tuer) sans trop d'états d'âme ou d'empathie, ou aussi comme dans les cas cités, déposer leur bébé dans l'eau glacée...
j'ai découvert les rythmes, cycles et leurs épisodes critiques dont je parle et objets de ce blog à force de m'observer, d'observer autour de moi, mais surtout d'observer et recouper les faits divers de l'actualité. apparemment ils sont inconnus, pour l'instant, de la science et de la médecine. et pourtant ils semblent omniprésents dans nos comportements... ils restent de ce fait à découvrir et à étudier...
l'aspect le plus intéressant est que leur prise en compte à l'avance - puisqu'ils fonctionnent selon une horloge préprogrammée - permettrait de parer et d'éviter de nombreux drames.(1)




(1) http://rythmescycleshumains.blogspot.fr/p/faits-divers.html

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