jeudi 19 décembre 2013

cavale à risque

Bartolomeo Gagliano, le tueur en série de la Saint Valentin, est en cavale
Bartolomeo Gagliano, 55 ans, condamné pour trois meurtres et de nombreux autres crimes, avait reçu une permission de sortie d'une journée pour se rendre à un hôpital psychiatrique de Gênes et voir sa mère à Savone, mais il en a profité pour prendre la fuite. Il a pris en otage un boulanger sous la menace d'une arme, afin de l'obliger à le reconduire à Gênes où il a disparu à bord d'une Fiat Panda blanche. Malade mental, "Gagliano donnait l'impression d'aller beaucoup mieux ces derniers temps. Son attitude avait changée", selon les déclarations du directeur de la prison de Gênes. Sa carrière criminelle débute en 1981, où il assassine une prostituée de 29 ans à Savone à coups de pierre. Arrêté, il écope de huit ans d'incarcération dans un hôpital psychiatrique dont il s'évade avec un complice, Francesco Sedda, en 1989. Un mois après l'évasion, les deux hommes tuent un transsexuel uruguayen, Nahir Fernandez Rodriguez, d'une balle dans la bouche. Trois jours plus tard, le jour de la Saint Valentin, Gagliano et Sedda abattent Francesco Panizzi, un travesti drogué. Moins de vingt-quatre heures après, c'est au tour de Laura Baldi, une prostituée, d'essuyer les tirs du duo meurtrier. Elle parvient à survivre par miracle à ses blessures. Une fois sous les verrous, ils justifient leurs actions par la volonté d'éradiquer des propagateurs du Sida. En 1994, Sedda décède dans un hôpital psychiatrique, tandis que Gagliano profite de ses généreuses permissions de sortie pour fuguer et commettre des agressions, des vols et des cambriolages. Gagliano purgeait la dernière année de sa condamnation à la prison de Marassi, à Gênes.
http://www.au-troisieme-oeil.com/index.php?page=actu&type=skr&news=42936

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l'entrée dans une période critique septennale (ici celle des 56 ans) est souvent une période à risque, surtout avec de tels antécédents...

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