Le Dr Muller acquitté du meurtre de sa femme
Le verdict a été annoncé jeudi par la cour d'assises de Meurthe-et-Moselle. Retour sur ce feuilleton judiciaire vieux de quatorze ans.
Le docteur Jean-Louis Muller, accusé d'avoir maquillé en suicide le meurtre de sa femme en 1999, a été acquitté jeudi 31 octobre, lors de son troisième procès d'assises, à Nancy (Meurthe-et-Moselle). Un peu plus tôt, le parquet avait requis vingt ans de prison à l'encontre de cet homme déjà condamné deux fois à vingt ans de prison. (...)
Pour Jean-Louis Muller, c'est la fin d'un parcours judiciaire qui aura duré quatorze ans. Depuis la mort de son épouse, le 8 novembre 1999, le médecin clamait sans relâche qu'elle s'était suicidée avec le Magnum 357 retrouvé à ses pieds au sous-sol de leur pavillon d'Ingwiller (Bas-Rhin).
Par deux fois, les juridictions criminelles ne l'ont pas cru et l'ont condamné à vingt ans de réclusion criminelle. Mais au total, Jean-Louis Muller n'aura passé que dix-huit mois derrière les barreaux, la Cour de cassation ayant annulé le deuxième verdict en 2011. D'où la tenue de ce troisième procès où il comparaissait libre.
Quelles charges pesaient sur l'accusé ?
Les parties civiles accusaient Jean-Louis Muller d'avoir maquillé le meurtre de sa femme, Brigitte Muller, documentaliste âgée de 42 ans, en suicide. Elles pointaient du doigt l'expertise du Dr Muller, médecin légiste et auteur d'une thèse sur "les effets des projectiles de petit calibre". Car aucune empreinte, pas même celle de la victime, n'a été retrouvée sur le pistolet. Le mobile invoqué : la jalousie présumée d'un mari dont la femme entretenait une liaison adultère.
"Même à l'opéra, on voit ces choses-là", a clamé l'avocat général Jacques Santarelli dans son réquisitoire. A l'issue de sa plaidoirie, il avait demandé au jury de confirmer la peine de vingt ans de réclusion. "Vous n'avez rien qui contienne le germe d'une erreur judiciaire", a-t-il lancé aux jurés, qui ne l'ont finalement pas suivi.
Lors des deux premiers procès, le manque de preuves n'avait pas empêché le jury de condamner Jean-Louis Muller. C'est son attitude, entre provocation et mutisme, qui a desservi le médecin, note L'Express. (...)
http://www.francetvinfo.fr/faits-divers/justice-proces/le-docteur-jean-louis-muller-acquitte-du-meurtre-de-sa-femme-par-la-cour-d-assises-de-meurthe-et-moselle_448426.html
====================
Brigitte Muller s'est donc suicidée. les deux personnes se trouvaient apparemment dans leur période critique septennale des 42 ans, mais pas trouvé de données qui permettraient de voir la "situation du jour" du drame... Ingwiller est à côté de chez moi... un peu inquiétant ce possible aspect "pile ou face" de la justice, je trouve...
L'express dit : "Un verdict que l'accusé doit en partie au talent de son avocat, Me Eric Dupond-Moretti."
ce qui voudrait dire que s'il avait eu un autre avocat, de moindre talent, ç'aurait été vingt ans... de barreaux...
"du côté de la famille de la victime, Brigitte, plusieurs cris et pleurs ont accueilli la décision des jurés populaires".
ces rythmes qui déterminent notre forme et nos humeurs et parfois mènent à des actes incontrôlés...
pages
- Accueil
- bonjour !
- en résumé
- apprenons à utiliser
- analyser
- effets
- modification de nos paramètres
- années de vie
- jours critiques des rythmes courts
- épisodes critiques semestriels
- périodes critiques des cycles longs
- pulsions/désinhibition
- rythmes et cycles
- cycles de l'humeur
- dépression
- prévention des drames
- prévention du suicide
- suicide sur RV
- prévention des accidents
- biorythmes
- jour critique émotionnel
- glossaire
- ce qu'il est utile de savoir avant d'être mal...
- rythmes courts à voir
- éléments moteurs
- éveil
- en pratique "petit guide"
- le secret des faits divers
- pulsations du vivant
- sauts évolutifs
- violences et drames conjugaux
- disparitions
- questionnements
- similitudes
- pédophilie septennale
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire