Vincent Van Gogh: son suicide remis en question
Deux journalistes américains font le buzz autour de son meurtre
Un siècle après sa mort, la légende Vincent Van Gogh est toujours intacte. L'homme à l'oreille coupé inspire aujourd'hui un livre à deux journalistes américains Steven Naifeh et Gregory White Smith qui restent sceptiques quant à la théorie de son suicide. Dans Van Gogh, ils reviennent en détail sur une enquête qui attesterait de son assassinat.
On le disait dépressif, schizophrène et asocial. Le peintre expressionniste Vincent Van Gogh, s'il était un maître du pinceau, reste encore aujourd'hui sans conteste la plus grande curiosité de son époque. Mort à 37 ans par balle, il avait laissé à coté de sa dépouille une lettre qui confirmait son suicide. Élevé au rang de mythe pendant et après sa vie, il continue d'inspirer la littérature contemporaine, 123 ans plus tard. Et, aujourd'hui, il est le héros d'un nouveau livre, écrit par deux journalistes américains Steven Naifeh et Gregory White Smith, qui remettent au goût du jour la théorie de son meurtre.
Ainsi, ces deux lauréats d'un Prix Pulitzer en 1991 et diplômés de Harvard, expliquent dans Van Gogh (publié chez Flammarion) que le peintre mort à Auvers-sur-Oise aurait été tué par deux jeunes hommes de sa ville. S'appuyant sur les théories du médecin Victor Doiteau (contemporain de la victime), ces pseudo-détectives écartent donc la version officielle qui assure que Vincent Van Gogh s'est tiré tout seul une balle dans la poitrine, manquant de peu le coeur.
Leur argument: Vincent Van Gogh avait dérobé le pistolet qui avait causé sa perte. Selon la version de Naifeh et White Smith, ce larcin est une raison suffisante pour expliquer le geste des assassins. Un témoignage peu précis - et démenti par les dépositions de l'époque - qui a déjà attiré 40 000 lecteurs en quête de réponse. Touché par accident alors que les jeunes jouaient au cow-boy, l'artiste avait ensuite choisi d'étouffer l'affaire pour protéger les adolescents, maquillant son homicide en suicide. A l'agonie pendant trois jours, le maestro avait finalement trouvé le repos éternel le 27 juillet 1890, laissant derrière lui l'oeuvre que l'on connaît.
http://www.gala.fr/l_actu/news_de_stars/vincent_van_vogh_son_suicide_remis_en_question_300208
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né le 30 mars 1853 à Groot-Zundert aux Pays-Bas - mort le 29 juillet 1890
c'est apparemment le 27 juillet qu'il s'est tiré une balle dans la poitrine (dans le ventre selon d'autres versions)
en tous cas c'était un jour critique physique P18 donc le moment entrée dans un important "down" (jours critiques physiques P18/P19) (à 37 ans et 4 mois) :
juillet 1890 (30/03/1853)
Me 23 E(22) I(1)
Je 24
Ve 25
Sa 26
Di 27 P(18)
Lu 28 P(19)
Ma 29
Me 30 E(1)
ces rythmes qui déterminent notre forme et nos humeurs et parfois mènent à des actes incontrôlés...
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