Tentative de viol : une enfant de 11 ans à la barre du tribunal. Un marginal sera jugé la semaine prochaine par la cour d'assises de l'Aisne pour l'enlèvement et la tentative de viol d'une fillette en juillet 2011 à Soissons.
L'affaire avait provoqué une vive émotion car l'enfant avait été sauvée par l'intervention courageuse de deux jeunes garçons.
Maître Miel, avocat de la petite victime, s'interroge sur le sort réservé à l'enfant si elle n'avait pas été sauvée par deux adolescents.
Lors des débats prévus devant la cour d'assises de l'Aisne la semaine prochaine, du mercredi 16 au vendredi 18 octobre, des pics d'émotion devraient être franchis avec le témoignage d'une petite victime originaire de Soissons.
Peu avant minuit, le 2 juillet 2011, la soirée est douce. Une fillette, âgée de 9 ans, joue avec une amie plus âgée, le long du boulevard Gambetta, en bas de chez elle. Un homme s'approche et demande à la fillette de le suivre dans un local abandonné. Sa camarade l'en dissuade, mais elle est, sans doute, d'une nature confiante. Elle comprend vite qu'elle est en danger quand elle songe à partir.
Deux sauveteurs courageux
L'inconnu se montre menaçant. Il tente même de l'étrangler et d'abuser d'elle. Son attitude est particulièrement étrange : il lui aurait lancé qu'il voulait l'épouser. Pendant ce temps, l'adolescente s'inquiète et prévient deux jeunes garçons qui reviennent de la pêche. Ils témoignent d'un réel courage en se précipitant au secours de la petite victime. L'un des garçons assène un coup de pied au marginal. L'enfant est libérée au bout d'une quinzaine de minutes.
Elle s'est ensuite confiée à son médecin en racontant que son agresseur l'avait empêchée de crier en mettant sa main sur sa bouche. L'enquête démontre que le lieu du drame est l'habitation de l'accusé. Il y vit dans des conditions sommaires au milieu de bouteilles d'alcool. Interrogé, après un séjour dans une cellule de dégrisement, il précise qu'il a rencontré sa victime vers 17 heures. C'est sa gentillesse qui l'a attiré, l'a conduit à la surveiller avant d'agir.
Il avoue avoir enlevé sa victime et usé de la force pour parvenir à ses fins. Surtout, il sème l'effroi en affirmant qu'il n'aurait pas relâché la fillette sans l'intervention de ses deux sauveteurs. Sa volonté était de la garder à ses côtés pour une durée non déterminée. L'homme, hospitalisé en 2005 à Prémontré, n'avait jamais auparavant témoigné d'une quelconque violence selon la personne chez laquelle il avait vécu. Il est défendu par Me Ognami et la victime est assistée de Me Miel. Dans un tel contexte, les éclairages des psychiatres pourraient se révéler particulièrement intéressants.
Source : L'Union le 11 octobre 2013
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=10917&hl=
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pas d'indication de l'âge précis de l'accusé mais une hospitalisation en 2005 pourrait signifier une récidive septennale (juillet 2011 - édit sdf d'une cinquantaine d'années)...
ces rythmes qui déterminent notre forme et nos humeurs et parfois mènent à des actes incontrôlés...
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