L’accident était un infanticide
Le bébé décédé le week-end dernier n’est pas mort accidentellement comme ses parents le prétendaient. Le père a reconnu l’avoir frappé.
Benoit, 39 ans et un physique passe-partout, a les yeux cernés et l’air aux abois. Il tend toutefois docilement les mains aux policiers qui l’escortent. Ces derniers lui passent les menottes. Direction le centre pénitentiaire de Nancy-Maxéville.
Le trentenaire vient d’être placé en détention, ce vendredi soir, par le juge des libertés de Nancy, Michel Le Guennec. Un peu plus tôt, en fin d’après-midi, il avait été mis en examen par une juge d’instruction pour « meurtre sur mineur de moins de 15 ans par ascendant ». Une qualification juridique qui lui fait encourir la réclusion criminelle à perpétuité et qui se traduit par un mot aussi simple qu’effrayant : infanticide.
Le trentenaire est soupçonné d’avoir tué son fils de 2 mois. Les faits remontent à dimanche matin. Les pompiers sont intervenus un peu après 8 h, dans l’appartement qu’il partage avec sa compagne de 26 ans, au n°1 de l’allée de Marken à Vandœuvre.
Les parents avaient appelé les secours parce que leur fils de 2 mois, Noa, était blessé. Suite à une chute accidentelle, selon les premières explications qu’ils ont fournies. Sur place, les pompiers ne sont pas parvenus à réanimer le petit garçon qui est décédé.
La mère de l’enfant a été interrogée par les policiers. Mais aussi et surtout le père. Celui-ci a raconté qu’il avait l’enfant dans les bras, qu’il a trébuché et qu’il est tombé avec lui. C’est ce qui aurait causé la blessure à laquelle il a succombé.
Les constations sur place n’ont pas permis dans un premier temps de mettre en doute cette version. Les parents ont donc été laissés libre. Mais, coup de théâtre, l’autopsie du corps du petit garçon a révélé mercredi qu’il avait subi des violences. Ses parents ont donc été placés en garde à vue à l’hôtel de police de Nancy jeudi matin.
Père écroué et mère laissée libre
Interrogé par les enquêteurs, le père a reconnu avoir frappé à plusieurs reprises l’enfant. « Il ne supportait pas ses pleurs », indique le vice-procureur Amaury Lacote. (...)
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