Un directeur d'école condamné pour des vidéos pédopornographiques
Un directeur d'école a été condamné vendredi à 36 mois d'emprisonnement, dont six ferme, pour avoir détenu sur son ordinateur plus de 4.500 vidéos et 3.800 photos pédopornographiques, certaines mettant en scène de très jeunes enfants, par le tribunal correctionnel d'Epinal.
La condamnation de cet homme de 56 ans a été assortie d'une mise à l'épreuve de trois ans, avec obligation de soins psychiatriques et interdiction d'entrer en contact avec des mineurs. Les magistrats sont allés au-delà des réquisitions du procureur, qui avait demandé 3 ans d'emprisonnement, intégralement assortis du sursis.
Ce directeur d'une école d'Épinal, qui a été mis à la retraite de manière anticipée, a d'abord expliqué son geste par la volonté d'"essayer de transgresser la loi", avant de reconnaître qu'il trouvait "du plaisir" au visionnage des photos et vidéos. Le prévenu avait été signalé à la justice française par les autorités russes, via Interpol Moscou, qui enquêtait sur des tournages de vidéos pédopornographiques.
"J'ai honte, je suis un malade"
Il a reconnu avoir commencé à télécharger ce type de documents depuis 2007. "J'ai honte. Je suis un malade, j'ai un problème, je demande pardon. Ce n'est pas normal, ce que j'ai fait, en tant qu'instituteur j'ai complètement dévié. Mais jamais je n'ai touché un enfant", a insisté le quinquagénaire, père de trois enfants, tête baissée.
Ancien alcoolique désormais abstinent, l'instituteur avait jusqu'alors une excellente réputation, a convenu le procureur de la République, Etienne Manteaux, qui a par ailleurs relevé qu'aucun parent d'élève ne s'était plaint de son comportement. "Mais on ne va pas télécharger des vidéos mettant en scène des viols d'enfants de trois ans, et ce pendant 6 ans, uniquement par envie de transgresser. On le fait parce qu'on est excité. Or, ce sont des scènes sadiques, d'une violence inouïe", a fustigé le procureur de la République.
"Toute une carrière gâchée"
"Il a un vrai problème, un très grave problème. Et c'est un instituteur. Avec le recul, c'est toute une carrière qui est gâchée avec cet aspect détraqué de la personnalité", a-t-il poursuivi. En défense, Me Gérard Welzer a souligné "une vie brisée, effondrée". "A quelques mois de la retraite, c'est un véritable suicide professionnel", a-t-il encore observé.
http://lci.tf1.fr/france/justice/un-directeur-d-ecole-condamne-pour-des-videos-pedopornographiques-8102860.html
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suicide professionnel qui a apparemment démarré avec la période critique septennale des 49 ans : d'où l'intérêt d'une mise en garde au sujet du mécanisme de nos pulsions septennales (1), sujet qui demanderait bien sûr à être étudié... mais qui éviterait parfois la ruine d'une vie...
"Le directeur d'école, âgé de 56 ans a tenté de mettre fin à ses jours en ingérant des médicaments quelques jours seulement après l'issue de sa garde à vue, fin mai."
période sensible suivante, que la période critique septennale des 56 ans...
attention au jour critique émotionnel.
(1) http://rythmescycleshumains.blogspot.fr/2012/04/pedophilie-septennale.html
ces rythmes qui déterminent notre forme et nos humeurs et parfois mènent à des actes incontrôlés...
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