malveillance ?

Furosémide : le pharmacien à l'origine de l'affaire s'exprime pour la première fois
Après la mise en doute de ses déclarations, le pharmacien de Saint-Malo (Ille-et-Vilaine) qui a déclenché l'affaire du Furosémide s'exprime au micro de France 3, mercredi 19 juin. Il explique comment une de ses clientes lui a présenté quatre boîtes de Furosémide Teva à l'intérieur desquelles il a découvert deux cachets de Zopiclone du même laboratoire. L'usine Teva de Sens (Yonne) a été inspectée de fond en comble par l'Agence nationale du médicament, et les 1 445 boîtes de cachets fouillées, en vain. Depuis le 11 juin, les différentes investigations n'ont pas permis de trouver de nouveaux somnifères. L'enquête semble s'orienter vers un acte de malveillance.
http://www.francetvinfo.fr/teva/info-france-3-furosemide-le-pharmacien-a-l-origine-de-l-affaire-s-exprime-pour-la-premiere-fois_351584.html

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édit 9/07 :
je me posais la question d'une personne malveillante en période septennale, période parfois de toutes les drôles d'idées... en fait il s'agirait d'une "maladresse" d'une dame âgée de 76 ans... donc curieusement se trouvant à l'entrée dans sa période critique septennale des 77 ans... 
ce moment et cette période peut effectivement aussi être la période des erreurs ou maladresses... :-)


http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2013/07/09/01016-20130709ARTFIG00584-furosemide-l-erreur-d-une-patiente-serait-a-l-origine-de-l-affaire.php
Et ce mardi, l'intrigue semble trouver son dénouement. «Dans cette affaire, tout le monde est de bonne foi, il n'y a pas de malveillance ni de volonté de nuire, juste la maladresse d'une dame âgée», a en effet révélé dans la journée Erik Roche, sur Europe 1. Le patron de Teva a précisé avoir eu «accès au rapport de gendarmerie qui a conduit le parquet à classer sans suite la semaine dernière cette affaire». «Ce rapport conclut que la seule hypothèse probable est que la patiente ait positionné un comprimé de Zopiclone Teva dans un blister (plaquette) de Furosémide Teva. Cette patiente de Saint-Malo, une dame âgée de 76 ans qui vit seule (...) a l'habitude d'ouvrir ses blisters et de repositionner les comprimés en trop qu'elle avait déblistérisés pour son pilulier», a-t-il raconté. Elle a donc placé ce somnifère «dans la mauvaise alvéole de la mauvaise boîte». Et d'ajouter: «Elle le fait de manière consciencieuse puisqu'elle referme parfaitement les opercules en aluminium, ce qui fait que l'assistante du pharmacien de Saint-Malo n'a pas pu se rendre compte que ce blister avait été ouvert et refermé.» Le laboratoire, qui assure n'avoir pas vu ses ventes baisser, renonce à toute suite judiciaire.