drame familial

Homicide familial en Guadeloupe : ces hommes qui "redoutent l'abandon"
Les meurtres conjugaux peuvent avoir pour victimes collatérales d'autres membres de la famille.
Francetv info s'interroge sur les profils de ces agresseurs avec une psychiatre. 174 personnes, en grande majorité des femmes, sont mortes en 2012, victimes de leur conjoint ou ex-conjoint, selon une étude du ministère de l'Intérieur publiée samedi 8 juin 2013.
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Francetv info : Peut-on parler d'un profil psychologique des auteurs d'homicides familiaux ?
Geneviève Reichert-Pagnard : Si on se penche sur les profils d'agresseurs conjugaux, on distingue trois types récurrents : tout d’abord, les manipulateurs destructeurs, qui se servent des autres tout en leur imposant leur mode de fonctionnement. Ils partagent des traits de personnalité avec les pervers narcissiques. Ensuite, il y a des psychopathes, qui peuvent réagir de manière imprévisible, et dont la violence se révèle instantanée. Et enfin, des paranoïaques, très "procéduriers", qui ne mettent jamais en cause leur comportement ou raisonnement.
Cependant, dans chaque cas, il faut tenir compte d'éléments individuels : l’agresseur était-il dépressif ? Souffrait-il de maladies psychiques, comme la schizophrénie ? S’agissait-il d’un acte commis en plein délire ? Le passage à l'acte s'est-il fait sous l’effet de l'alcool ou d’autres stupéfiants... (.....)
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http://www.francetvinfo.fr/faits-divers/homicide-familial-en-guadeloupe-ces-hommes-qui-redoutent-l-abandon_360542.html

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j'ai tendance à ajouter les éléments cycliques qui sont généralement présents et en cause car ils vont fréquemment constituer l'élément déclencheur d'une explosion dramatique et inattendue... 
le drame n'arrive souvent que parce que cet ou ces éléments sont présents et il n'arrive pas s'ils ne sont pas là, parce que la personne se retient, arrive à se retenir, l'inhibition face à une violence extrême étant généralement présente.
c'est lorsque ce frein est levé - lors de certains éléments psychiques cycliques - que çà va pouvoir dégénérer... le drame peut en quelque sorte arriver de préférence durant un "créneau horaire" pendant lequel on est "débridé"...
dans le cas cité l'intéressé ne se trouvait pas en période critique des cycles longs (élément fréquemment présent) mais je n'ai pas pu vérifier les cycles courts (jour critique, autre élément fréquemment présent - les deux sortes d'éléments étant souvent présents ensemble ou séparément).