vendredi 12 juillet 2013

double homicide

(...) Une jeune femme d’à peine 30 ans, abattue par deux balles de fusil à pompe en pleine rue par l’homme avec qui elle ne voulait plus vivre. Après son acte, le tueur prend la direction de la gendarmerie afin de se rendre. Cette histoire ressemble de manière troublante à celle vécue par Florence Parmentier et Celil Eren (45 ans tous les deux), jeudi dernier, à Thaon-les-Vosges, froidement abattus à la carabine de chasse par un individu de 55 ans : Francis Conte. A la suite de son acte, ce dernier était parti se dénoncer à la brigade de Thaon.
Ces similitudes sont malheureusement très simples à comprendre : l’homme qui a tué Corinne, en 1992 dans les rues de Mirecourt, est le même qui a ôté la vie aux deux quadragénaires thaonnais. A l’époque, Francis Conte n’avait pas supporté la rupture avec celle qui lui avait donné deux enfants. Depuis, cette triste journée du 14 octobre 1992 reste à jamais gravée dans les mémoires des proches de Corinne. (.....)
Une semaine jour pour jour après le drame qui a bouleversé la commune de Thaon-les-Vosges, un couple de voisins de Francis Conte est toujours aussi abasourdi par le geste fatal du quinquagénaire. Cela faisait une dizaine d’années qu’il le connaissait. Et rien dans son attitude n’aurait laissé penser que cet homme avait déjà tué quelqu’un il y a 21 ans. « C’était un voisin très discret, mais pas du tout sauvage. Il nous parlait souvent de sa chasse » explique l’époux. Sa femme avait également une opinion plutôt positive de Francis Conte : « C’était quelqu’un de très serviable, toujours prêt à donner un coup de main. Il ne faisait pas de bruit chez lui. Il recevait juste de temps en temps des copains avec qui il allait à la chasse. » Bref, le voisin presque parfait. Son passé ? Le couple n’en avait jamais eu vent. D’où une certaine stupeur lorsqu’il a appris le drame de jeudi dernier. « Cela veut dire qu’on ne connaît pas ses voisins. Ça fait peur… » Source: Vosges Matin le 12 juillet2013
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=17923&hl=

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il semble effectivement s'agir d'une récidive septennale : 1992 était la période critique septennale des 35 ans, alors que 2013 est celle des 56 ans. (on entre dans ces périodes critiques autour de 34 ans et demi et 55 ans et demi).
certaines pulsions étant septennales, les récidives ont tendance à avoir lieu par années multiple de sept (ici après 21 ans mais cela arrive parfois aussi après 7 ou 14 ans) et lors des âges septennaux de leur auteur...
les deux dates du 14 octobre 1992 et 4 juillet 2013 - respectivement mercredi et jeudi - pourraient également être une indication de jour critique émotionnel : mais il faudrait pouvoir le vérifier avec les données de naissance.

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