Nancy : un policier dépressif menaçait de se suicider au commissariat
Un capitaine de police âgé de 46 ans s'est retranché pendant plusieurs heures vendredi soir dans son bureau d'un commissariat de Nancy où il menaçait de se suicider sans la visite sur place du ministre de l'Intérieur, Manuel Valls.
Au milieu de la nuit, il s'est finalement rendu sans résistance aux hommes du Groupe d'Intervention de la police nationale venus le raisonner.
Onze ans de conflits
Connu pour être dépressif, ce policier était en conflit ouvert avec sa hiérarchie, à qui il avait adressé ces derniers jours plusieurs emails évoquant ses intentions suicidaires. En conséquence il avait été sommé de rendre son arme de service, mais s'y était refusé.
Déjà en avril, ce fonctionnaire avait défrayé la chronique en annonçant qu'il se mettait en grève de la faim pour protester contre une mutation dont il ne voulait pas. A l'époque, il avait expliqué être "payé à ne rien faire" depuis plus d'un an. Se sentant brimé, mis à l'écart par sa hiérarchie, il avait déposé une plainte en décembre auprès de l'Inspection générale de la police nationale (IGPN) pour "harcèlement moral".
Ses tourments remontent en fait à bien plus loin. En 2002, prenant ses fonctions à Dombasle, en Meurthe-et-Moselle, le capitaine avait été accusé par ses supérieurs d'avoir tenu des propos injurieux et même commis des violences. Il avait été innocenté par une enquête de l'IGPN, cependant sa carrière s'en était durablement ressentie.
Des brimades reconnues par la justice
En août 2009, un jugement du tribunal administratif de Nancy avait en tout cas établi que sa carrière était à l'arrêt depuis et qu'il avait été victime d'un "dénigrement de son chef de service". De sources proches du dossier, plusieurs réaffectations lui ont été proposées dans la foulée, mais il les a toutes déclinées.
Vendredi 14 juin, vers 17h, il s'est donc retranché dans son bureau avec son arme de service et exigeait que le ministre de l'Intérieur vienne juger de ses propres yeux du climat social délétère au sein de son commissariat. Il est finalement sorti de lui-même du bureau, vers 1h30 du matin, sans obtenir gain de cause, du moins pour le moment.
http://www.metronews.fr/info/nancy-un-policier-depressif-menacait-de-se-suicider-au-commissariat/mmfo!q9U0ChHOkYkP6/
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2002 est la période critique septennale des 35 ans, suivie de celle des 42 ans, puis de l'année critique des 46 ans... (année P1) trois possibles épisodes "critiques" mais la situation peut parfois effectivement s'enliser dans l'intervalle aussi...
jour critique émotionnel ?
ces rythmes qui déterminent notre forme et nos humeurs et parfois mènent à des actes incontrôlés...
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