Yves Bureau a été condamné à perpétuité en appel pour avoir tué et dépecé Edith Muhr, une femme de 68 ans qui avait croisé son chemin.
j'ai noté pour moi - pour mémoire - quelques indices curieux apparus lors de ce procès en appel, et qui m'ont interpellé, les voici à tout hasard... :
- "Maître Christine Maze lit une expertise médicale. Le médecin évoque un épisode dépressif d'Yves Bureau après la mort de son père, "une perte de tonus musculaire et du contrôle des membres inférieurs". (.................)
(SKCenter)
- 17h20. La défense souhaite s'assurer que les traitements que prenaient Yves Bureau n'ont pas pu jouer sur sa personnalité et avoir un effet neurologique. "Non, pas à ces doses", (.....)
http://www.sudouest.fr/2013/04/11/en-direct-du-proces-d-yves-bureau-juge-pour-avoir-decoupe-une-retraitee-1021008-2780.php
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- pour tenter de mieux comprendre ce qui a l'air d'être un cas Jeckyll et Hyde, il faut regarder la situation cyclique car c'est généralement elle qui produit, lors des épisodes critiques le changement de personnalité que l'on remarque ici : or nous sommes en pleine période critique septennale des 56 ans (ce qui pourrait correspondre à "un épisode dépressif d'Yves Bureau après la mort de son père, "une perte de tonus musculaire et du contrôle des membres inférieurs".)(le père est décédé trois mois avant le meurtre)
curieusement ces symptômes ressemblent à ce que l'on retrouve aussi lors de ce que l'on appelle "Évènements psychotiques inauguraux de sclérose en plaques "... et il semblerait que cela puisse entraîner des troubles psychotiques/psychiatriques... (choc émotionnel au décès du père) et çà se passe fréquemment à l'arrivée d'une période critique septennale...
(il s'agit toujours de chercher à comprendre ce qui a pu se passer dans la tête d'Yves Bureau... un homme "normal" jusqu'à ce jour de ses 56 ans...)
- et le 10 septembre 2009 : situation des cycles courts ? (jour critique émotionnel ? - (si natif du jeudi p.ex.) - ou possible jour critique physique, les jours pulsions (désinhibition) les plus forts étant alors P18/P19 et/ou i1) car il faut être poussé et désinhibé pour ce genre d'acte...
(voir http://rythmescycleshumains.blogspot.fr/p/pulsionsdesinhibition.html et http://rythmescycleshumains.blogspot.fr/p/analyser_25.html )
- au sujet des traitements médicamenteux que prenait l'intéressé, je pense personnellement que certains médicaments peuvent contribuer à une désinhibition qui viendra se cumuler avec celle naturelle de nos jours et périodes critiques.
ces rythmes qui déterminent notre forme et nos humeurs et parfois mènent à des actes incontrôlés...
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