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Yves Bureau en appel : "Ce ne sera pas le même procès"
De nouveaux éléments pourraient intervenir la semaine prochaine à Bordeaux, lors du procès en appel du "dépeceur de la Dordogne", qui aurait tué et découpé une voisine allemande en 2009...
A partir de lundi et toute la semaine prochaine, la cour d'assises d'appel de Bordeaux reprend le procès du "dépeceur de la Dordogne", le surnom que les émissions télévisées de fait divers ont donné à Yves Bureau. Cet habitant de Verdon, près de Bergerac, a été condamné à la réclusion criminelle à perpétuité pour le meurtre de Edith Muhr, une voisine allemande, qui a été découpée en neuf morceaux, en partie alors qu'elle était encore vivante, d'après les analyses révélées lors du premier procès, à Périgueux en septembre 2011. A l'époque, la cour d'assises avait conclu que Yves Bureau était conscient de ses gestes au moment du meurtre, même s'il était apparu très décalé de la réalité, durant ce premier procès. Depuis septembre 2012, il est défendu par l'avocate bordelaise Christine Maze. Forte de nouvelles expertises, elle estime qu'on n'assistera "pas au même procès" à Bordeaux qu'à Périgueux. "Nous allons éclairer le dossier d'une autre manière, plus proche de la réalité", explique-t-elle, sans dévoiler plus loin sa stratégie. "Tous les éléments techniques n'ont pas été exploités", explique aussi l'avocate. "On a essayé d'éclairer le dossier dans une espèce de perspective qui n'était pas la bonne. Il semble que l'on puisse dire qu'on a ajouté de l'horreur à l'horreur dans ce dossier." Me Maze pourrait notamment montrer que son client n'était pas maître de ses actes le jour du meurtre. Source : Sud Ouest le 5 avril 2013
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drame de la période critique septennale des 56 ans... 
jour critique émotionnel ? 
(voir http://rythmescycleshumains.blogspot.fr/p/pulsionsdesinhibition.html )