obsession

Un lycéen condamné à 10 ans de prison
Après quatre jours d'audiences à huis clos, les jurés ont tranché mercredi soir : le jeune homme, mineur au moment des faits (17 ans), a écopé de dix ans de réclusion criminelle, assorti d'un suivi socio-judiciaire de huit ans et d'une obligation de soins.
Les Assises de Chaumont on condamné un jeune homme à dix ans de prison ferme pour avoir tenté d'assassiner un camarade de classe qui "l'obsédait". L'agresseur était mineur au moments des faits. C'est le procès d'un jeune homme au profil psychologique "très fragile", selon les experts, qui s'est tenu cette semaine devant la cour d'assises des mineurs de Chaumont. Celui d'un garçon de 18 ans accusé d'avoir tenté d'assassiner un camarade qui "l'obsédait" dans l'internat du lycée Diderot de Langres (Haute-Marne), le 3 février 2011. 
"Le mobile répond à des critères psychiatriques" (...)a indiqué Renaud Tribolet, l'avocat des parties civiles. Pour autant, l'accusé a bien été reconnu responsable pénalement de ses actes. L'agression avait eu lieu tôt un matin à la sortie des douches de l'internat. Sans raison apparente, l'agresseur avait blessé d'un coup de couteau à la gorge l'un de ses camarades, lui faisant une blessure longue d'une quinzaine de centimètres. La victime avait pu être secourue grâce à l'intervention rapide des secours. L'auteur du coup de couteau, qui avait pris la fuite juste après l'agression, s'était finalement rendu de lui-même à la gendarmerie de Langres où il avait été placé dans la foulée en garde à vue. Depuis, il n'avait été en mesure d'expliquer son geste. Le procès s'étant tenu à huis-clos, on ignore s'il a cette fois pu revenir sur ses motivations. Source : Métro le 31 janvier 2013
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ce genre de geste peut parfois s'expliquer par la présence du jour critique émotionnel, au moment des faits... parfois, mais moins fréquemment c'est un certain jour critique physique que l'on trouve.