dimanche 17 février 2013

meurtres

Meurtre à Carcassonne : un suspect au lourd passé judiciaire en garde à vue
 "La piste criminelle est privilégiée, admet le procureur de la République, Antoine Leroy, au regard des premières constatations effectuées par le médecin légiste."
 La thèse que nous évoquions hier d’une tentative d’incendie pour effacer les traces d’un meurtre semble se confirmer. Jeudi, les pompiers étaient effectivement alertés d’un départ de feu dans la cage d’escalier de l’immeuble situé au n° 2 de la rue Jean-Bringer. Après avoir rapidement maîtrisé les flammes, ils vont découvrir le corps sans vie d’un homme, dans un appartement du rez-de-chaussée. "La piste criminelle est privilégiée"(...)
"Une personne est en garde à vue (...)" confirme M. Leroy. "S’agissant d’une affaire complexe en cours d’enquête, le parquet ne communiquera pas plus que cela au risque de préjudicier aux investigations nombreuses qu’il reste à effectuer." Le suspect : un lourd passé judiciaire Comme nous l’écrivions hier, le locataire, 45 ans, a un lourd passé judiciaire. Il a été condamné le 23 septembre 1999 à 15 ans de réclusion criminelle par les jurés de la cour d’assises de l’Aude pour... meurtre. Sa victime avait été tuée par arme à feu, le 9 novembre 1995 au Viguier. Il avait ensuite été condamné à deux ans de prison ferme pour une tentative de braquage à la bijouterie Millet, en plein centre-ville, le 20 février 2009...
 Le revoilà principal suspect d’un meurtre. Rien n’interdit de penser - même si rien ne permet de l’affirmer - qu’il ait tenté de mettre le feu dans la cage d’escalier à l’aide d’une serpillière pour effacer les traces de son geste. Source : Midi Libre le 16 février 2013
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=16793&hl=

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les trois données dont on dispose pourraient effectivement correspondre à des épisodes critiques cycliques identiques, en particulier les deux meurtres intervenus le même jour de la semaine, un jeudi... alors que le braquage a eu lieu un vendredi... (jour critique émotionnel ?)
en 1995 nous sommes par ailleurs dans la période critique septennale des 28 ans, sauf erreur.

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