Carcassonne. Le «forcené» de Fleming en liberté
Renvoyé devant le tribunal dans le cadre d'une procédure rapide, Icham Dabchi a été condamné à 30 mois de prison, dont six ferme, et a été laissé libre. Il lui est fait obligation de se soigner pour ses troubles psychologiques et ses addictions.
«Tenez-vous tranquille. Prenez soin de la victime et soignez-vous. La décision de ce jour est une sorte de pari. Le comprenez-vous ?». le président Vilar, du tribunal correctionnel de Carcassonne qui siégeait hier matin pour la comparution immédiate d'Icham Dabchi, a tenu à commenter sa bienveillance. Mais aussi à rappeler au prévenu la parole donnée. «Est-ce que l'on peut vous faire confiance ?», lui avait-il demandé avant son délibéré. «Oui, oui, monsieur le juge (sic). Vous pouvez !».
Icham Dabchi, 27 ans, était donc renvoyé hier matin devant le tribunal pour les faits qui ont défrayé la chronique carcassonnaise ce samedi et qui ont motivé la venue des policiers d'élite du GIPN, en l'occurrence pour ce qui aurait pu s'apparenter à une «séquestration» de sa petite amie.
Mais le parquet, sur la base de l'enquête de police, n'a pas souhaité qualifier ainsi les faits reprochés au jeune homme. C'est donc pour les préventions de violences aggravées (sur sa concubine) et pour détention de stupéfiants (71 grammes de résine de cannabis ont été trouvés dans l'appartement) qu'il était renvoyé hier matin.
«quand je m'énerve, je casse des choses»
Où l'on (re) découvrit la personnalité d'un jeune homme qui, à 18 reprises à eu maille à partir avec la justice et qui, depuis trois ans, s'était tenu à carreau. Un garçon malmené par la vie, par les drogues et l'alcool. Devenu un homme à la double personnalité et qui reconnaît que, sous l'emprise de la drogue et de l'alcool. «Je suis dangereux, et je le sais», a-t-il lancé. Ses problèmes, il les connaît. Mais il ne fait rien pour les résoudre. Sa propre sœur, venue à la barre pour en témoigner, l'a décrit comme un homme «mi-ange, mi-démon» et qui se «braque quand on lui propose des solutions.
«Même moi, je ne comprends pas», a indiqué le prévenu à la barre…
http://www.ladepeche.fr/article/2013/01/15/1536415-carcassonne-le-forcene-de-fleming-en-liberte.html
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il va être certainement difficile pour cette personne de ne pas "rechuter" car elle se trouve à l'entrée dans sa période critique septennale des 28 ans. (cela peut expliquer une rechute après trois années de "calme" : "entre les deux" périodes critiques des 23 et 28 ans)
il faut tenir compte de cela, mais aussi du jour critique émotionnel de la personne, qui est le plus souvent le jour des problèmes s'il y a dérapage...
ces rythmes qui déterminent notre forme et nos humeurs et parfois mènent à des actes incontrôlés...
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