enlèvement

Une interpellation en France après un enlèvement à Mouscron
Un mandat d'arrêt européen avait été lancé par les autorités tournaisiennes dans le cadre d'une instruction ouverte le week-end dernier à la suite de l'enlèvement, samedi après-midi, d'une mineure d'âge de 15 ans à Mouscron. Un habitant d'Estaimpuis âgé de 35 ans, recherché depuis un peu plus de 24h dans l'espace Schengen, a été interpellé lundi en fin d'après-midi par les autorités françaises dans la localité de "La Gacilly", dans le département du Morbihan (Bretagne). "Ce jeune homme sans histoire, d'un milieu respectable, sera prochainement extradé vers la Belgique", a indiqué lundi soir Jean-Bernard Cambier, 1er substitut du procureur du roi de Tournai. Selon le parquet de Tournai, le suspect a tenté de suicider avant son interpellation. "Je suis allé trop loin et je me suiciderai plus tard", avait d'ailleurs déjà déclaré samedi soir l'individu à l'adolescente qu'il venait d'enlever. La victime et son agresseur fréquentaient un centre équestre d'Estaimbourg (Estaimpuis). Quelques jours avant l'enlèvement, la maman de la victime avait rencontré l'individu et l'avait intimé de ne plus importuner l'adolescente. Par SMS, l'homme a d'abord donné rendez-vous à la jeune fille samedi après-midi au marché de Noël de Mouscron, puis dans le parc communal. C'est là qu'il l'a enlevée, après avoir eu une violente altercation avec un couple de promeneurs. Suite à diverses investigations, la police du Val d'Escaut a retrouvé vers minuit l'adolescente ligotée et inconsciente dans les toilettes de la cafétéria du château d'Estaimbourg (Estaimpuis). La victime avait des estafilades aux avant-bras. "L'auteur lui avait administré des sédatifs, fait boire de l'alcool et respirer de l'éther. Il avait entrepris des manoeuvres d'ordre sexuel mais avait été interrompu par l'arrivée de la police", a précisé M. Cambier. S'échappant à pied, l'individu a volé vers 2h du matin un véhicule 4X4 auprès d'un membre de sa famille, puis a pris la fuite vers la France où il a été appréhendé lundi. Dans un chemin annexe du château d'Estaimbourg, la police belge a retrouvé la voiture qui avait servi à l'enlèvement. Le véhicule était embourbé. A l'intérieur, les forces de l'ordre ont mis la main sur des médicaments sédatifs, de l'alcool, des joints de cannabis, des liens Colson, des bandes adhésives, une bâche et un sac de couchage. Source : Belga le 31 décembre 2012
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édit :
http://www.au-troisieme-oeil.com/index.php?page=actu&type=skr&news=40855
"professeur de morale ?" je ne savais pas que çà existe... 
attention aux disjonctions septennales... même si on est prof de morale... :-)


édit 3/01/2013 :
Vincent Hubaut (enlèvement d'une ado de 15 ans) avait des antécédents avec une fille de 10 ans: “ce type est un pervers” Une plainte avait déjà été déposée contre Vincent en 2002 Vincent Hubaut, 35 ans, passait pour un mec bien avant l’enlèvement de ce samedi et sa fuite dans le Morbihan. Pourtant les parents de Tifanie D. avaient déjà, en 2002, déposé plainte contre cet homme si sympathique. Mais l’affaire avait été classée sans suite...
Vincent Hubaut, 35 ans, passait pour un mec bien avant l’enlèvement de ce samedi et sa fuite dans le Morbihan. Professeur de morale dans des écoles de Mouscron et concierge du centre équestre d’Estaimbourg, il était apprécié de tous, ou presque. Pourtant, les parents de Tifanie D., maintenant âgée de 21 ans, avaient déposé en 2002 une plainte contre lui. L’affaire avait été classée sans suite, faute d’attouchements. Stéphane, le père de Tifanie, qui gérait à l’époque le centre équestre, considérait Vincent comme un pervers. Un vendredi soir, alors que Tifanie rentrait au centre équestre, Vincent Hubaut l’avait poursuivie dans les allées. Elle n’avait eu que le temps de se réfugier en courant dans la conciergerie où logeaient ses parents. Vincent l’attendait à l’extérieur. À l’époque, déjà, la jeune fille âgée de 10 ans était convaincue que Vincent voulait lui faire du mal. L’affaire avait été classée parce que la jeune fille n’avait subi aucun sévice. Source : Sud Presse le 3 janvier 2012
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je note pour des données qui peuvent éventuellement dire quelque chose : 2002 semble être la période critique des 23/24 ans, et vendredi soir correspond au même jour chronobiologique (ce jour "démarre" selon moi la veille au soir) que samedi, jour de l'enlèvement récent : peut-être un lien avec le jour critique émotionnel/jour de pulsions hebdomadaire ? mais sans certitude, bien entendu car il peut y avoir coïncidence ou d'autres raisons...