samedi 1 décembre 2012

retard

Une mère jugée sept ans après le décès de sa fille
Épilogue d’un double désastre humain et judiciaire : une mère devait répondre d’un homicide involontaire devant le tribunal correctionnel de Tours. Il y a des audiences qui laissent un goût amer quand, au drame humain, s'ajoute ce qu'il faut bien appeler un désastre judiciaire. Plus de sept ans après le décès de sa fille de 17 mois, en septembre 2005, à Tours, une femme aujourd'hui âgée de 43 ans devait répondre devant le tribunal correctionnel du délit d'homicide involontaire.
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Le tribunal aura donc à se débrouiller avec une seule certitude, sept ans après les faits : on sait que l'enfant est morte d'avoir avalé trois gélules. Pour le reste, c'est le flou total : comment cela s'est passé ? Comment a-t-elle fait ? Pour délivrer son jugement, il s'est donné jusqu'au 17 janvier, presque en s'excusant devant la prévenue de cette nouvelle attente. Peut-être aura-t-il en tête cette question dérangeante : l'accumulation de manquements de la machine judiciaire ne constitue-t-il pas une faute caractéristique ? Source : La Nouvelle République le 1er décembre 2012
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=16014&hl=

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là aussi on peut vérifier certains indices : il semble s'agir d'un drame septennal puisque l'intéressée a 43 ans aujourd'hui et que le drame est arrivé il y a sept ans... (période critique septennale des 35 ans)
ensuite on peut regarder la situation cycliques des personnes et du bébé pour voir ce qu'elles disent...

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