Accusé de pédophilie, un Palois clame son innocence
Suspecté d'avoir abusé de 11 enfants, un Palois écroué depuis 18 mois demande sa libération.
Cela fait dix-huit mois que Cyril B. est en détention provisoire à la maison d'arrêt de Pau. Hier, pour la cinquième fois depuis sa mise en examen en mai 2011 pour viols aggravés, agressions sexuelles aggravées et corruption de mineurs, ce Palois de 43 ans comparaissait devant la chambre de l'instruction de la cour d'appel de Pau à qui il demande sa remise en liberté. « Je n'ai rien fait de ce dont on m'accuse. Tous ces enfants sont des menteurs. Je les accueillais chez moi avec l'accord de leurs parents », a-t-il affirmé, niant toujours avoir commis le moindre geste à caractère sexuel envers les onze jeunes victimes présumées de cette complexe affaire : des garçons âgés de 11 à 15 ans, dont deux l'accusent de viol et qui sont, à l'exception d'un neveu du mis en examen, ses anciens voisins.
Cadeaux et strip-poker
Jusqu'à son incarcération, Cyril B. vivait dans un immeuble de l'avenue Didier-Daurat à Pau et avait pour habitude de recevoir ses petits voisins, à qui il offrait régulièrement des cadeaux, des jeux vidéo principalement. Personne n'y trouvait rien à redire jusqu'au 29 avril 2011. La mère d'un des enfants apprend que son fils ne s'est pas rendu au collège et a passé la matinée chez Cyril B. Après s'être fait sermonner, l'enfant confie que les cadeaux ne sont pas sans contrepartie. Il parle de strip-poker, de visionnage de films porno, de caresses, etc. D'autres voisins sont interrogés. Tous confirment. L'un d'entre eux affirme même avoir été violé. Ce qu'un neveu de Cyril B. assure également, peu après.
Mais le quadragénaire a toujours clamé son innocence et n'en démord pas alors que l'information judiciaire touche à sa fin et qu'il attend aujourd'hui de savoir s'il sera renvoyé devant une cour d'assises ou le tribunal correctionnel. « Si l'on vous suit, tout le monde dit n'importe quoi dans cette affaire », lâche le président Treilles.
Reste que pour l'avocate du mis en cause aucun élément de preuve n'a été retrouvé chez son client. « On parle de films pornographiques mais aucun n'a été découvert chez lui. Et pas davantage sur son ordinateur », plaide Me Chauvelier pour qui il n'existe pas de risque de pression sur les victimes ou de réitération des faits. Un point de vue que ne partage pas l'avocat général Dominique Jéol. « Les jeunes victimes ont toujours été constantes dans leurs déclarations et sont encore marquées par cette affaire », indique le magistrat qui requiert le maintien en détention.
Cyril B. sera fixé sur son sort mardi prochain. S'il est libéré, il serait placé sous contrôle judiciaire et irait vivre chez une amie à Lons.
Source : Sud Ouest
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=15646&hl=
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pas vraiment d'indication quant au début et à la durée des faits... l'intéressé est entré dans sa période critique septennale des 42 ans après son 41ème anniversaire... (2010 ?) (on retrouve fréquemment les périodes critiques septennales lors de pulsions pédophiles)
et il serait curieux que onze enfants mentent d'un commun accord...
ces rythmes qui déterminent notre forme et nos humeurs et parfois mènent à des actes incontrôlés...
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