samedi 28 juillet 2012

ADN

L'ADN parle onze ans après
Un homme est écroué pour le viol d'une fillette commis en 2001. Arrêté en février dernier dans le cadre d'un délit, son ADN l'a confondu.
Les faits s'étaient déroulés dans un immeuble de la cité du Grand Parc, en février 2001.
L'empreinte génétique est devenue l'arme fatale des enquêteurs. L'interpellation, cette semaine, du violeur présumé d'une fillette de 11 ans commis au mois d'août 2001, à Bordeaux, en est une nouvelle démonstration. Le suspect, un père de famille de 45 ans, a été trahi par son ADN, onze ans après les faits. (...)
Le violeur présumé confondu à Bordeaux a été trahi après avoir été placé en garde à vue, le 29 février 2012. (.....)
Lors de sa garde à vue, les policiers avaient prélevé son empreinte génétique. Le profil avait été envoyé au siège de la sous-direction de la police technique et scientifique où il a été stocké. Récemment, celui-ci a « matché » avec la trace biologique prélevée en 2001 et intégrée au Fnaeg.
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=14740&hl=

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cela correspond au moment de l'entrée dans la période critique septennale des 35 ans.

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