samedi 23 juin 2012

infanticides

Gaëlle Grouchetzky condamnée à 25 ans de réclusion pour infanticide. . Les jurés ont écarté l’irresponsabilité pénale pour troubles psychiques mais retenu l’altération du discernement au moment des faits. (...)
En l'absence de diagnostic de pathologie mentale , rien ne permettait en effet d'entrevoir les risques qui pesaient sur les deux garçonnets retrouvés noyés dans leur baignoire le 13 janvier 2010.  (...)
Et il s'est employé à dévoiler les aspects « les plus sombres » de cette femme de 39 ans, qui « ne s'est jamais départie du masque qu'elle a toujours porté ».
(.....)
 Elle est extrêmement vulnérable, il lui est impossible de déprimer normalement, de gérer ses émotions. Elle n'a jamais de comportements normaux face à l'échec, son parcours le démontre. Elle est intolérante à la frustration. D'ailleurs, toutes les mères infanticides souffrent de troubles graves, ce sont des femmes dépassées ».
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=6175&hl=

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séparation et infanticide : aussi probablement un drame lié à la période critique septennale des 35 ans...
(même si la personne n'a pas directement cet âge au moment précis du drame, il faut remonter à l'origine des problèmes, au point de départ de ce qui va devenir parfois une "descente aux enfers" :  fréquemment l'arrivée d'une période critique septennale... scénario différent, mais même "racine", voire "élément moteur", dans ce cas d'infanticides que dans le drame objet de mon post précédent... autre point restant à vérifier : le jour critique émotionnel est fréquemment jour de passage à l'acte - voir p.ex. Lhermitte et Turcotte pour ne citer que ces deux cas connus)

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