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Le voleur d'un Shakespeare de 1623 retrouvé mort dans sa cellule
Un livre rare, qui provoque la mort de son dernier possesseur... on parlera bientôt de malédiction ?
En juillet 2008, un exemplaire de Shakespeare, datant de 1623, et dérobé en 1998 était retrouvé inopinément. D'une valeur de 3,5 millions €, ce livre remontait à la surface après des années de silence.
Le livre avait été dérobé durant une exposition d'ouvrages de littérature anglaise, des manuscrits sous verre que les impudents n'hésitèrent pas à briser. Et depuis pas de nouvelles, avant que l'ambassade d'Angleterre aux États-Unis ne soit avertie.
Un homme, prétendument d'affaires, souhaite que soit expertisé un livre, acheté à Cuba. De passage à Washington, il présente l'ouvrage en question à la bibliothèque. « Nous avons des gens qui viennent de temps en temps nous voir, pour poser des questions sur les livres », explique le chargé des relations extérieures, Scott Garland. Mais quelques recherches rapidement effectuées plus tard, la vérité éclate : c'est bien le manuscrit volé à l'université de Durham. Deux ans plus tard, le voleur écopait de huit années de prison, ayant toujours clamé son innocence.
http://www.actualitte.com/actualite/monde-edition/international/le-voleur-d-un-shakespeare-de-1623-retrouve-mort-dans-sa-cellule-32767.htm
 
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pas sûr mais possible suicide septennal : j'ai trouvé plusieurs âges mais la personne semblerait bien avoir 55 ans et entre par conséquent dans sa période critique des 56 ans. cela peut fort bien expliquer un suicide.
par ailleurs le vol de 1998 pourrait quant à lui avoir été commis à l'arrivée de la période critique septennale des 42 ans...
il faut un élément moteur assez fort, pour passer à certains actes : jours et périodes critiques en sont et cela explique qu'on les trouve très souvent en y regardant de plus près...