mardi 24 janvier 2012

suicides septennaux

Des suicides en question au CHR
Série noire au CHR de Lille. Après trois suicides d'agents du service de neurochirurgie, entre le 8 et le 17 janvier (nos éditions précédentes), un quatrième employé du CHR s'est donné la mort dimanche à son domicile. Il s'agit d'un aide-soignant de 41 ans, père de famille, qui travaillait à l'hôpital gériatrique des Bateliers, dans le Vieux-Lille. Il était en congé lorsque le drame s'est produit. Les trois premiers cas concernaient un agent d'entretien de 34 ans et deux aides-soignantes de 27 ans.
« Ces décès posent question » ..................
http://www.nordeclair.fr/Actualite/2012/01/24/des-suicides-en-question-au-chr.shtml

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réponse  aux questions (pour un des "éléments moteurs" probables, du moins) : tous les quatre suicides sont des suicides septennaux.
il faut nous intéresser aux cycles psychiques humains : les quatre personnes, si les âges cités sont exacts, se sont suicidées au moment de l'entrée dans leur période critique septennale respective et probablement surtout à cause de cela :
- à 41 ans et demi on entre dans la période critique septennale des 42 ans
- à 34 ans et demi on entre dans la période critique septennale des 35 ans
- à 27 ans et demi on entre dans la période critique septennale des 28 ans

la période critique septennale est une période cyclique qui nous arrive chaque septième année de notre vie assez précisément six mois avant nos anniversaires septennaux. cette période peut - dans les cas sérieux - engendrer de graves perturbations dont la dépression septennale fait partie. celle-ci est une forme de dépression particulière car liée à l'arrivée de la période critique septennale. on sait à l'avance quand elle peut arriver (ce qui permet de comprendre et préveniret elle peut prendre des formes très sévères, menant alors à des comportements suicidaires. attention donc, si l'on est dépressif, aux pics de pulsions et à l'effet de désinhibition pouvant arriver aux moments de nos âges septennaux. attention aussi à l'effet de "grossissement" de nos problèmes (fréquemment "effet mirage" lié à notre état de dépression), qui s'opère à la faveur de ce mécanisme.
(pas de lien avec de l'astrologie, ni de la numérologie, mais avec un cycle psychique et émotionnel humain (endogène probablement hormonal) à pulsation septennale)

3 commentaires:

Anonyme a dit…

Ceci n'est pas scientifique du tout. Arrêtez d'extrapoler de tels conneries.
Tu dis que 28 ans est une période critique car 4x7=28 ?
Tu dis aussi que quelqu'un qui à 27 ans est à risque car il va rentrer dans cette période ?
Et également que quelqu'un de 29 ans est à risques car il est dans cette période ?

Si tous les 7 ans, trois années sont à risque, alors une personne de 100 ans sera passée par près de 43 ans de période d'instabilité à risque suicidaire et autre?

Arrêtez ça, posez vous les bonnes questions. Ne stagnez pas dans l'ignorance car elle est facile.

geispe a dit…

merci de votre réaction, même négative... car elle me permet de tenter des précisions...

d'accord... ce n'est pas scientifique du tout, effectivement, mais toutes les découvertes ne sont pas forcément scientifiques et il faut bien qu'elles se découvre un jour... la science peut développer et s'en occuper après.
d'accord aussi que la théorie peut paraître bizarre voire farfelue, de prime abord... mais elle ne l'est plus pour moi, après vingt années d'observations...
donc continuons d'y regarder de plus près. car les suicides entre autre septennaux (car il y en a d'autres notamment ceux du jour critique émotionnel) se poursuivent alors que l'on pourrait tenter d'y parer...

je m'explique pour le mécanisme :
il y a une période critique chaque septième année de vie, et autour de cette septième année, période qui peut poser problème selon un ensemble d'éléments individuels liés à la personne et son état, à ses préoccupations et son environnement. cette "période critique septennale" peut ne pas apparaître beaucoup voire pas du tout, (c'est d'ailleurs le cas le plus souvent et heureusement... tout le monde ne sombre pas systématiquement dans une dépression), mais elle peut aussi se traduire par la survenance d'une dépression septennale (et c'est elle qui pourra être à l'origine d'un suicide si elle est très grave)
une dépression de la période critique des 28 ans (pour reprendre l'exemple) pourra, selon les personnes et leur situation, leur état et leurs problèmes, se déclarer après 27 ans, à 28 ans ou à 29 ans et plus si les problèmes persistent voire prennent de l'ampleur... et elle pourra être de durée et d'intensité variable, aussi...

il n'y a donc qu'une seule "période à risque" tous les sept ans, (du moins pour le cycle dont nous parlons) mais dont - si le risque se déclare - les symptômes et conséquences peuvent en quelque sorte coulisser sur le calendrier et être de durée et d'intensité variable en fonction de tout un ensemble de données individuelles. la racine se trouve cependant dans un cycle et l'année septennale.

ainsi une personne de cent ans sera effectivement passée par 14 période critiques : d'après mes observations on en "ressent" généralement au moins l'une ou l'autre au courant d'une vie, et de diverses manières... cela peut alors aller de faibles perturbations variées jusqu'à la sévère dépression. et il y a des personnes qui ressentent plus de périodes, ou plus fortement, mais ce ne sont pas - heureusement - dans une vie, 43 années de périodes d'instabilité à risque suicidaire...

geispe a dit…

nos "périodes critiques septennales" - dont je parle ci-dessus - sont des éléments liés à un cycle psychique et émotionnel "long" dont les éventuels problèmes sont repérés grâce à l'arrivée ou à la proximité de l'un de nos âges septennaux.
c'est déjà un moyen de repère important, mais ce n'en est qu'une partie.

lorsqu'il y a suicide (ou tentative) un second élément cyclique tout aussi important entre fréquemment en compte, c'est un élément déclencheur de cycle court, qui fait que la personne va craquer et passer à l'acte non pas n'importe quel jour, mais de préférence un jour donné...
c'est là que l'on trouve fréquemment un "jour critique" qui fonctionne de la même manière que la période critique longue : c'est un jour de "down" le plus souvent hebdomadaire et dont l'effet peut être ressenti aussi le jour avant et/ou le jour après, selon les situations et les individualités. il faut donc là aussi tenir compte d'un jour "fort" encadré par deux jours à risque.

cette donnée je ne peux la vérifier dans les cas que je relève dans les faits divers, car il faut connaître la date de naissance des personnes. si on dispose de cette donnée on constera que les suicides ont tendance à intervenir le jour de la semaine où on est né : un natif du lundi aura tendance à passer à l'acte un lundi (ou éventuellement un dimanche ou un mardi - jours à côté) : pas de secret non plus autre qu'un cycle qui induit des "downs" de façon hebdomadaire.

ceux-ci peuvent être très forts et expliquent alors des passages à l'acte inattendus et qualifiés d'incompréhensibles.
je résume, car certains autres jours critiques peuvent être en cause (voir pour pour d'autres détails les "pages" en tête du blog ou demander)

cela donne une idée des moyens dont on pourrait disposer pour tenter de prévenir une dépression voire un acte suicidaire : et c'est surtout la personne elle-même qui doit pouvoir gérer différemment lorsqu'elle est en pleine connaissance de ses cycles - cycles humains naturels probablement hormonaux - qui la font sombrer dans le désespoir.