vendredi 27 janvier 2012

drame

Toujours amoureuse du meurtrier de sa fillette
............."Il n'était pas lui-même"
"Nous sommes toujours amoureux l'un de l'autre et je n'arrive pas à vivre sans lui", a expliqué Monika L., racontant qu'elle vivait sa séparation tout aussi mal que le décès tragique de sa fillette. "Au moment des faits, il n'était pas lui-même", a-t-elle affirmé, au sujet de son compagnon, ................
Monika L. avait immédiatement expliqué qu'à la suite d'une dispute entre elle et son compagnon, celui-ci avait claqué Leila à plusieurs reprises contre le sol en la prenant par la jambe. "J'ai crié "arrête" mais j'avais peur d'intervenir car j'ai vu dans ses yeux que ce n'était pas lui", a encore raconté jeudi la seule témoin des faits.
La dispute aurait porté sur l'état d'ébriété de l'accusé, sur l'argent et sur la nécessité de traiter l'appartement contre les cafards. F serait devenu "comme fou", selon sa compagne.
http://www.7sur7.be/7s7/fr/3007/Bruxelles/article/detail/1385876/2012/01/26/Toujours-amoureuse-du-meurtrier-de-sa-fillette.dhtml

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il semblerait que l'intéressé avait 35 ans à l'époque et se trouvait donc dans sa période critique septennale. jour critique émotionnel ?
de nombreux drames semblent arriver lors d'accès de colère et de rage, (ici l'alcool en plus - autre tabou) mais je n'ai jamais vu que la question de la survenance et non maîtrise de ces accès de "rage folle" donc presque de "coup de folie" soient étudiés pour en chercher et comprendre l'origine et le fonctionnement dans le but de les éviter ou maîtriser...

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