viols

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Nancy. Un gynécologue accusé d'une vingtaine de viols et agressions sexuelles
Le procès d’un gynécologue de Nancy, âgé de 57 ans, a débuté hier. Jusqu’à présent, il n’avait pas vraiment avoué avoir violé vingt-neuf femmes lors d’examens médicaux très particuliers.
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Première plainte en 1996
« Son examen était devenu un acte sexuel », confie une de ses anciennes patientes. L’accusé sait profiter de ses victimes et bénéficie de son statut, qu’il croit intouchable, de médecin. L’instruction montre que ces gestes auraient débuté en 1987, lors d’un remplacement.
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Sources : La Dépêche/L'Est Républicain

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même observation que dans mon post précédent : il est probable que là aussi ce soient les pulsions de l'arrivée d'une période critique septennale qui constituent un élément "moteur" pour le "démarrage" de ces actes.
(1987 pour une personne qui a 57 ans aujourd'hui constitue également le moment de l'arrivée de la période critique septennale des 35 ans : elle a 33 ans à ce moment-là mais des données de dates plus précises seraient utiles. les périodes critiques peuvent aussi constituer des "pics d'activité" (en raison des pulsions et de l'effet de désinhibition survenant à ce moment-là) qui resurgissent tous les sept ans, l'activité ralentissant entretemps ou même pouvant parfois cesser... cela peut expliquer la première plainte de 1996 = période critique septennale suivante, celle des 42 ans) d'ailleurs l'intéressé lui-même explique ses "dérapages" par des "épisodes dépressifs", ce qui n'est pas exclu, la dépression (septennale) étant un des aspects possible et important de ces  périodes.