vendredi 11 novembre 2011

infanticide

http://www.au-troisieme-oeil.com/index.php?page=actu&type=skr&news=37824
Une mère tue son fils de 7 ans à coups de couteau à Plougastel
" Un terrible coup de folie semble être à l'origine d'un drame qui frappe ce matin une famille parfaitement intégrée de Plougastel-Daoulas (29). Une commune sous le choc.
Une maman, prise d'un accès incontrôlable de violence, a tué à coups de couteau le plus jeune de ses trois enfants. Un petit garçon de 7 ans.
Le quartier -un paisible lotissement de Plougastel- est bouclé : les enquêteurs procèdent à l'heure actuelle aux investigations sur le terrain. Le Parquet devrait livrer plus d'informations sur ce terrible drame dans les heures qui viennent.
La maman a été transférée dans un établissement hospitalier de l'agglomération."
Source : LE TELEGRAMME.FR (11 novembre 2011

==========

édit :
http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5hc3O5rQAjQ9rHKu8ew50765xAKuA?docId=CNG.d0e658709b76f5859a79b9cd1942055d.2a1
Drame familial: une mère tue son enfant et en blesse grièvement un second
BREST — Une femme est soupçonnée d'avoir mortellement poignardé vendredi un de ses trois enfants, âgé de 6 ans et demi, et grièvement blessé un second, dans le pavillon familial à Plougastel-Daoulas (Finistère), a-t-on appris auprès du parquet de Brest.
"Il s'agit d'un drame familial", a indiqué Bertrand Leclerc, procureur de la République de Brest, lors d'une conférence de presse.
Le troisième enfant, âgé de 11 ans, qui se trouvait au domicile familial au moment du drame, est physiquement indemne et la mère a été hospitalisée d'office dans un établissement psychiatrique.
Les faits se sont déroulés vendredi vers 02H00 du matin. Selon les premiers éléments de l'enquête, et le témoignage du mari, la femme, âgée de 36 ans, s'est réveillée brutalement au milieu de la nuit. "Elle était dans un état de grande agitation, s'en est pris à son mari, tenant des propos incohérents, elle a renversé des objets", a indiqué M. Leclerc.
Ne pouvant la maîtriser, le mari, âgé de 43 ans, a quitté le domicile et s'est dirigé vers la maison de ses parents. Le drame s'est déroulé durant les 30 à 40 minutes d'absence du père qui voulait alerter sa famille.
Ronan, le fils aîné, âgé de 11 ans, a été menacé par sa mère qui lui a ordonné de quitter le pavillon. Elle s'en est ensuite pris à Brendan, 9 ans, qui a réussi à s'enfuir avant de s'écrouler en sang dans la rue.
Le garçon portait les traces de sept "perforations". Vendredi soir, il était "entre la vie et la mort", a indiqué le procureur.
Alertés par les cris et les appels de l'aîné qui sonnait à toutes les portes du voisinage, les gendarmes ont tenté de pénétrer dans la maison, mais la femme s'était barricadée.
Les forces de l'ordre sont rentrés par le garage, et ils ont dû faire usage d'un pistolet à impulsion électrique pour maîtriser la mère de famille.
"Elle était très excitée, ne répondait pas à nos injonctions, et le corps de l'enfant se trouvait à ses pieds", a indiqué le colonel Bras, commandant le groupement de gendarmerie du Finistère.
Le corps de Maëlan, 6 ans et demi, gisait à ses pieds, lardé d'une douzaine de coups de couteau au thorax et au cou. A l'arrivée des pompiers, l'enfant était mort, a précisé le procureur.
Prise en charge médicalement, la femme a été placée d'office dans un établissement psychiatrique vendredi midi en raison de son état. Elle n'avait pas pu être entendue vendredi soir, et fera l'objet d'expertises psychiatrique et psychologique.
Selon les enquêteurs, "aucun élément ne pouvait laisser présager" le drame dans cette famille arrivée en 2004 à Plougastel-Daoulas, une commune de l'agglomération brestoise.
La mère de famille est une ancienne aide familiale, et selon les enquêteurs, il s'agissait d'un foyer "sans problèmes".
"Cela semble irrationnel", a indiqué le procureur, qui a décrit une "scène de grande surexcitation".
Les gendarmes ont entendu le père, "indemne et très choqué". Une cellule psychologique doit être mise en place dans l'école fréquentée par les victimes.

======================

drame familial ou coup de folie ?
aïe, la compatibilité des périodes critiques septennales chez ce couple : celle des 35 ans chez l'épouse et celle des 42 ans chez le mari, ce qui peut donner lieu à problèmes... or les périodes en cause viennent de se passer...
jour critique émotionnel jour des disjonctions ?
ici tout arrive trop tard... hélas...

Aucun commentaire: