forcené

Riantec. Le forcené de Kerporel de nouveau interpellé chez lui
9 avril 2011
Plus d'un mois après avoir forcé les gendarmes à boucler son quartier de la rue Kerporel, à la sortie du bourg de Riantec, à la suite de son retranchement dans sa maison (Le Télégramme du 25février), un Riantécois âgé de 39ans, souffrant d'une maladie mentale, a de nouveau fait parler de lui, dans la nuit de jeudi à vendredi. Sorti mercredi de l'hôpital psychiatrique Charcot, où il était soigné depuis les faits précédents pour schizophrénie, il a rendu visite vers 1h du matin à un cousin, dont la demeure se trouve rue Docteur-Ferdinand-Thomas. Là, il a précipité sa voiture contre la porte de son garage avant de proférer des menaces à l'intention de plusieurs riverains. Il est retourné chez lui et s'est de nouveau retranché dans sa maison, avec un ami rencontré à Charcot et deux mineurs. Les gendarmes l'ont interpellé une heure plus tard, sans heurts, et l'ont de nouveau conduit à Charcot. L'intervention a mobilisé une dizaine de personnes, dont des hommes du peloton de surveillance et d'intervention de la gendarmerie, placés tout autour du pavillon.
http://www.letelegramme.com/ig/generales/regions/morbihan/riantec-le-forcene-de-kerporel-de-nouveau-interpelle-chez-lui-09-04-2011-1262610.php

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Un forcené retranché dans sa maison interpellé

25 février 2011
Un homme souffrant d'une maladie mentale s'est retranché, hier toute la journée, à l'intérieur de sa maison. Les gendarmes ont réussi à l'interpeller en douceur vers 16h.
Le quartier de la rue Kerporel, à la sortie du bourg, en direction d'Etel, a été bouclé une bonne partie de la journée d'hier par les forces de l'ordre. Un homme, âgé de 41 ans, s'était retranché à l'intérieur de sa maison, menaçant «de tout faire sauter». Le quadragénaire est connu pour être atteint de schizophrénie. Il est soigné à l'hôpital psychiatrique Charcot, à Caudan, où il a fait de nombreux séjours. Il avait interrompu son traitement médical, ce qui a entraîné une crise violente. C'est sa nièce qui a donné l'alerte vers 10h hier matin. Son oncle, après une nuit passée en dehors de la maison, est rentré, s'est mis à crier et s'est enfermé «menaçant de tout faire sauter».
http://letelegramme.info/local/morbihan/lorient/portlouis/riantec/un-forcene-retranche-dans-sa-maison-interpelle-25-02-2011-1218606.php
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le premier article du 25 février dit que l'intéressé a 41 ans, ce qui correspondrait à l'entrée dans la période critique septennale des 42 ans... le second indique 39 ans donc l'âge précis serait à vérifier car les "crises" ont plus tendance à survenir à l'entrée et durant la période critique septennale.
elles ont également tendance à survenir le jour critique émotionnel et ce serait intéressant à vérifier ici car dans ce cas la personne "disjoncte" toujours le même jour de la semaine, le jour critique émotionnel étant un "jour de pulsions" hebdomadaire :
or
- le 24 février est un jeudi
- la seconde "crise" a eu lieu dans la nuit de jeudi à vendredi : le même jeudi est par conséquent à côté au "démarrage"...
ce peut être une coïncidence mais l'examen des cycles courts de la personne le dirait instantanément. le jour critique émotionnel pourrait également être le vendredi car à son approche il peut se produire une sorte de "montée en puissance des pulsions" et ceci donc chaque semaine au même moment. on prend alors des risques en libérant une personne malade juste à ce moment-là... :-)