chacun son tour

http://www.gazetteinfo.fr/2011/03/31/la-meurtriere-de-frere-roger-a-son-tour-poignardee-a-la-chartreuse/
La meurtrière de frère Roger à son tour poignardée à la Chartreuse
Luminita Solcan, coupable du meurtre de frère Roger en 2005, a été poignardée de 17 coups de couteau au centre hospitalier spécialisé de la Chartreuse par sa voisine de chambre.
Le 16 aout 2005, à Taizé, frère Roger recevait un coup de couteau mortel lors d’une prière commune organisée pendant les journées mondiales de la jeunesse (JMJ). Sa meurtrière, Luminita Solcan, à l’époque âgée de 36 ans, a vécu le même sort dans la nuit de mardi à mercredi au centre hospitalier spécialisé de la Chartreuse où elle se trouvait en hospitalisation d’office judiciaire depuis 2005. La quadragénaire roumaine a été poignardée à 17 reprises par sa voisine de chambre. Luminita Solcan, transférée et prise en charge au CHU de Dijon, n’a elle pas succombé à ses blessures et reste entre la vie et la mort.
L’auteur de cette tentative de meurtre est une femme de 37 ans habitant à Chevigny-Saint-Sauveur, qui venait d’être admise, à sa demande, à l’hôpital psychiatrique dijonnais. Mardi soir, aux alentours de 22h30, elle a donc asséné plusieurs coups de couteau à Luminita Solcan qui a tenté de s’enfuir. Mais son agresseur l’a poursuivie et s’est acharnée avant de s’en prendre à une autre patiente, dont les blessures sont moindres, avant de regagner sa chambre. A son arrivée lundi à La Chartreuse, « rien ne pouvait laisser préfigurer d’un tel acte », a expliqué Bruno Madelpuech, directeur du CHS La Chartreuse. Pourquoi possédait-elle un couteau ? « Une structure comme un hôpital psychiatrique n’a pas le pouvoir de fouiller les patients qui se présentent d’elle même » a-t-il poursuivi. La Chevignoise ne présentait pas un comportement menaçant à son arrivée.
Luminita Solcan a-t-elle été victime d’un acte de vengeance ? Ou cet acte n’a-t-il aucun rapport avec l’assassinat du frère Roger ? Selon Eric Lallement, procureur de la république de Dijon, rien ne permet d’assurer qu’il s’agit d’un acte prémédité. L’enquête devrait nous en dire plus dans les jours à venir.

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un regard sur les cycles des personnes en question est intéressant ici également et il faut penser à faire le lien :
- la "poignardeuse" se trouve probablement dans la même situation cyclique que Luminita Solcan... lorsqu'elle a poignardé sa victime... (période critique septennale des 35 ans ou dépression septennale)
(même si la personne a 37 ans, l'état psychique, la dépression et les comportements qui y sont liés peuvent perdurer au-delà de la période critique, et être la cause des passages à l'acte ultérieurs, mais aussi de la nécessité d'internement qu'a apparement ressenti l'agresseur puisque internée à sa demande).
- un internement lundi peut signifier un jour critique émotionnel lundi ou mardi (on le sent arriver d'avance) et donc jour de danger : l'agression est arrivée mardi soir apparement.
- Luminita a tué le religieux un mardi : si cela est aussi son jour critique émotionnel il peut y avoir compatibilité à risque, mais aussi provocation de sa part.
- je ne connais pas les dates de naissance des deux personnes mais il faut vérifier ce qu'il en est de leur éventuelle compatibilité septennale, mais aussi hebdomadaire. ("on cherche l'autre", notre jour critique émotionnel : si on en tient compte on peut éviter les "accidents" en ne mettant pas les gens ensemble ce jour-là ou en leur accordant une surveillance particulière.)
- Luminita semble être en effet à l'entrée dans sa période critique septennale suivante puisqu'elle a 41 ans et quelle en avait 35 à l'époque de l'agression (agression probablement liée à sa situation en période critique septennale) du religieux. elle entre donc actuellement dans une nouvelle "période à risque".