vendredi 25 mars 2011

violences

http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=9960&hl=
P M, 31 ans, sera jugé les 24 et 25 mars, pour tentative de meurtre, à Saint-Gély-du-Fesc, en février 2009. La victime, une infirmière, petite amie de l'accusé, avait été retrouvée en sang, souffrant de multiples fractures et d'une tentative de strangulation avec le cordon de la lampe à chevet entourant encore son cou. Elle a expliqué qu'elle venait de lui annoncer sa volonté de rompre. Entendu par les gendarmes, P M a contesté avoir voulu tuer son ex-compagne. Il a déclaré qu'il souhaitait juste la faire taire et qu'il la pensait vivante lorsqu'il a quitté l'appartement après la dispute. Ancien adjoint de sécurité, l'accusé est décrit comme violent, colérique et jaloux par ses ex-compagnes. Cinq d'entre elles ont révélé avoir été victimes de très graves violences conjugales.
Source : Midi Libre
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Six précédents avant de basculer dans le crime
C'est un fait. La vie d'adulte de P M avec les femmes semble pouvoir se résumer au seul qualificatif de violence. Ainsi, pas moins de six de ses ex-compagnes, entendues dans cette procédure, n'évoque que cela. Soit une litanie de gifles, de coups portés et de fractures provoquées par un homme décrit comme « obtus », « manipulateur », « violent », « jaloux » ou « possessif ». De réponse judiciaire, il n'y eut pourtant pas.
À cause de la crainte inspirée par l'accusé ou des pressions exercées sur ces femmes devenues objets de pugilats. Terrible loi des séries sous chape de plomb. Jusqu'en 2001. Lorsque Pierre Mori, fraîchement nommé gardien de la paix au bureau de police de La Paillade, après avoir été adjoint de sécurité puis réussi son concours, débute une liaison avec l'une de ses collègues. Las. La relation va vite dégénérer. À quel point ? Des violences encore, et des coups, toujours. Mais cela ne passe pas.
Et en 2002, le gardien Mori est placé en garde à vue, jugé devant le tribunal correctionnel. Lequel le condamne, le 15 février de la même année, à dix-huit mois d'emprisonnement. Signant, par là même, sa révocation. Et provoquant aussi une certaine stupeur dans son entourage. Dont on ne sait réellement s'il était au courant des dérives passées. Mais qui le décrit comme « généreux », « sociable », « gentil », « jamais violent », tant physiquement que verbalement. La médecine reste, elle, à tout le moins plus circonspecte, mettant en avant l'instabilité du sujet.
Source :Midi Libre
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peut-être que l'on devrait s'intéresser aux cycles de la personne ( périodes et jours critiques), car la description des faits et leur interprétation pourrait correspondre à des périodes de "pulsions"...
les violences chez certaines personnes correspondent en outre à leur jour critique émotionnel, si p.ex. toujours le même jour de la semaine : certaines personnes peuvent alors devenir Hyde (de façon presque hebdomadaire... les pulsations cycliques étant hebdomadaires) alors que le reste du temps elles sont "généreuses, sociales, gentilles, jamais violents"...
mais comme dit cela reste à vérifier dans ce cas... chaque personne étant différente dans ses comportements, mais les cycles fonctionnent bien, généralement...

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