samedi 19 mars 2011

"chantage au suicide"

http://www.estrepublicain.fr/fr/fil-info/fil-info-belfort-montbeliard/info/4786404-Six-heures-sur-une-grue-nouveau-chantage-au-suicide-a-Belfort
Six heures sur une grue : nouveau chantage au suicide à Belfort
Belfort_ Le jeune Roumain de 26 ans a renouvelé son chantage au suicide, jeudi soir. Comme le 4 mars, il s’est réfugié à 35 m du sol, vers les contrepoids de la grue de chantier érigée dans les remparts de la Citadelle...
 Sa rage serait liée au refus d’une responsable de l’Armée du Salut de le recevoir dans l’après-midi sans rendez-vous. Toute tentative de discussion reste vaine. Contrairement à la première fois, il a ingurgité deux bouteilles d’alcool qu’il aurait volées. Ivre, il frappe sur la grue, siffle et harangue les promeneurs. Vers 23 h, les pompiers ont l’impression que l’excité s’endort allongé dans la pointe de la flèche. Ils envisagent d’engager le GRIMP et d’actionner une grande échelle pour une manœuvre de récupération. À l’arrivée des pompiers, l’homme se met debout sur la flèche. Il risque de tomber. Les pompiers sont rappelés. Vers 23 h 50, le préfet Benoît Brocard intervient. Avec le commissaire Eckel, il obtient le retour sur la terre ferme. Il est une heure du matin.

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les récidivistes sont intéressants - si l'on peut dire çà - pour vérifier le fonctionnement des cycles, et  je regarde toujours, lorsqu'il y a récidive, si celle-ci intervient le même jour de la semaine car cela veut dire que le risque est sérieux puisqu'il s'agit peut-être du jour critique émotionnel de la personne. (le jour critique émotionnel est jour de pulsions/désinhibition, et pour cela un jour plus fréquemment présent lors des drames : la "pression" monte ce jour-là, nous poussant à agir... et c'est toujours le même jour de la semaine)
cela pourrait bien être le cas ici : le 4 mars est un vendredi et là il s'agit de jeudi soir (c'est la même journée chronobiologique, la journée cyclique démarrant la veille, en fin d'après-midi).
mais ce peut être une coïncidence aussi...
en cas de drame et lorsque l'on connaît la personne impliquée on peut mieux estimer le risque... plus important si la personne se trouve dans son jour critique émotionnel ou la veille de celui-ci, au moment de l'entrée dans ce jour.
la "rage" (état colérique violent) est effectivement un symtôme du jour critique émotionnel...

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