drame

Allier: une fillette meurt à son domicile, après avoir subi des "violences"
Une fillette de sept ans est décédée samedi après-midi dans l'Allier à son domicile après avoir été "l'objet de violences", les enquêteurs privilégiant la piste d'un drame familial, a indiqué dimanche le parquet.
Une enquête pour "homicide volontaire" a été confiée aux gendarmes de la brigade de recherches de Montluçon (Allier), avec saisine du pôle de l'instruction de Cusset.
"L'enfant a été retrouvée agonisante et elle est décédée sur place malgré l'intervention du Samu. Elle a été l'objet de violences. On s'oriente vers un drame familial", a déclaré à l'AFP Thierry Griffet, vice-procureur placé à Moulins, en confirmant une information du quotidien La Montagne.
Peu avant les faits, qui se sont déroulés à Meaulne (Allier), la fillette se trouvait seule dans le pavillon familial avec sa mère, une ressortissante néerlandaise d'une quarantaine d'années. Cette dernière a prévenu d'un drame à son domicile sa voisine, qui a ensuite alerté les gendarmes.
"A leur arrivée, les gendarmes ont compris que la mère revendiquait quelque chose. Présentant des signes de déséquilibre (psychologique), elle a fait l'objet d'une hospitalisation d'office. Elle n'a pas encore été entendue sur les circonstances de la mort de sa fille unique", a ajouté le magistrat.
Le père, "très choqué", était également hospitalisé.
L'autopsie de la fillette devrait avoir lieu en début de semaine prochaine à Clermont-Ferrand, selon le vice-procureur.
http://www.leparisien.fr/lyon-69000/allier-une-fillette-meurt-a-son-domicile-apres-avoir-subi-des-violences-12-12-2010-1188121.php
 
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pas trouvé l'âge précis de la mère, pour l'instant...


édit 13/12 :
Drame de Meaulne : aucun élément nouveau en attendant l'autopsie

Aucune conclusion ne peut encore être tirée dans l'enquête ouverte suite au décès de la petite Peerle, sept ans, à Meaulne, et confiée aux gendarmes de la brigade des recherches de Montluçon. Les circonstances du décès de la fillette, retrouvée morte au domicile de ses parents, dans un pavillon du 49 de la place des Érables, ne sont toujours pas déterminées. Les enquêteurs attendent beaucoup de l'autopsie qui sera pratiquée, cet après-midi, à l'Institut médico-légal de Clermont-Ferrand. Quant aux résultats des prélèvements, effectués au cours du week-end, ne sont toujours pas connues.

Même si depuis dimanche matin, entre dix et quinze personnes travaillent sur cette enquête, ouverte dans le cadre d'un homicide volontaire, aucun élément nouveau n'est intervenu au cours de la journée d'hier. Le père et la mère de la fillette, d'origine néerlandaise et respectivement âgés de 47 et 48 ans, sont toujours hospitalisés à Montluçon. Et l'état de choc dans lequel ils se trouvent tous les deux ne permet pas encore leur audition. Elle n'est d'ailleurs pas prévue avant plusieurs jours. Celle de la mère est très attendue puisqu'elle était entrée chez une voisine, samedi vers 16 heures, en hurlant « j'ai tué ma fille. Elle est morte. Elle est toute bleue ». Le bras droit entouré d'une serviette ensanglantée... Quant au père, Robertus Brummelhuis, il était absent du domicile, puisqu'il était, semble-t-il, parti se promener. Les gendarmes ont retrouvé des membres de leur famille, aux Pays-Bas. Ils seront contactés par les autorités néerlandaises.
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http://www.lamontagne.fr/editions_locales/montlucon/drame_de_meaulne_aucun_element_nouveau_en_attendant_l_autopsie@CARGNjFdJSsBFBkDCxg-.html

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si les données ci-dessus sont exactes, la mère qui a 48 ans se trouve probablement à l'entrée de sa période critique septennale des 49 ans... (on entre dans cette période qui peut être très tourmentée, en passant par un pic de perturbations et de pulsions aux alentours de 48 ans et demi)
le père, quant à lui, vient de passer aussi dans une année délicate (année de vie 47 équivalente à P1 année critique physique) et se rapproche de sa propre période critique. peut-être qu'en raison de cette situation de compatibilité, il peut y avoir eu un différend entre les deux conjoints.
par ailleurs, l'enfant est un enfant septennal : il a de ce fait toujours ses périodes critiques en même temps que le ou les parents. dans le cas présent il y a compatibilité avec le cycle de la mère et mère et fille se trouvent ensemble dans une période "à risque"... un enfant - effctivement pas commode parfois compte tenu de cette situation momentanée -  peut, dans ce cas, être perçu comme étant insupportable et parfois infernal... ce qui a déjà donné lieu à de graves maltraitances voire des décès.
mais pour avoir une idée plus précise il faut rechercher les cycles courts des trois personnes et notamment la présence d'un jour critique émotionnel ou parfois critique physique, le jour du drame.