suicide

Nancy: suicide de deux gendarmes de Meurthe et Moselle

Beaucoup d'émotion dans les rangs de la gendarmerie de Meurthe et Moselle. Deux militaires se sont suicidés avec leur arme de service à quatre jours d'intervalle.

Le premier drame s'est produit jeudi soir à la brigade de Blainville - sur - l'Eau, lorsqu'un gendarme en repos est revenu à son bureau en fin de journée. Agé de 35 ans, ce père de deux enfants a mis fin à ses jours avec son arme de service. La déflagration a attiré une gendarmette de permanence qui a découvert la tragédie.

Le second suicide s'est produit dimanche soir, dans les locaux du groupement, avenue Général Leclerc à Nancy, lorsque le capitaine, adjoint au colonel commandant le groupement 54, a répété l'acte de son confrère. Cet officier de 37 ans, lui - aussi père de deux enfants a appuyé sur la gâchette de son arme de service. Il s'est effondré dans son bureau.
(Est-Républicain)
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dans l'un des cas nous avons une situation en période critique septennale des 35 ans (possibles gravissimes dépressions, voire dépressions "foudroyantes"...) alors que dans le second cas il faut voir en amont car il n'est pas exclu qu'une dépression septennale soit là aussi en cause : il arrive que l'on sombre lors d'une période critique (aussi celle des 35 ans dans l'exemple) et que l'on se débate, "tienne le coup", fort longtemps, jusqu'au moment où l'on finit par craquer.
à vérifier aussi le jour critique émotionnel fréquemment jour de passage à l'acte en raison de possibles "pulsions foudroyantes".

les dépressions septennales sont souvent liées aussi à des problèmes de mésentente et/ou séparation du couple (parfois et même fréquemment elles peuvent en être la cause en raison du changement de personnalité qu'elles peuvent entraîner). il faut donc voir aussi la situation du conjoint dans ce cas, y compris le jour du drame.