http://air-max.blog.fr/2010/09/22/perpetuite-pour-avoir-tue-une-seconde-compagne-9438989/
Perpétuité pour avoir tué une seconde compagne
Jean-Guy Horn a été condamné mardi soir par les assises de l'Oise à la réclusion criminelle à perpétuité avec une période de sûreté de 22 ans. Il avait déjà été condamné pour le meurtre d'une précédente femme en 1995.
«On sait que si demain il ressort, il va recommencer», avait argué l'avocate générale. Les assises de l'Oise ont abondé dans ce sens : mardi soir, Jean-Guy Horn, 45 ans, a été condamné à la réclusion criminelle à perpétuité assortie d'une période de sûreté de 22 ans pour l'assassinat de sa compagne en 2007. Ainsi qu'à 10 ans d'interdiction de droits civils, civiques et de famille. En 1995, déjà, il avait été condamné pour le meurtre d'une autre compagne.
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Des similitudes troublantes entre les deux crimes
Le 3 août 2007, Jean-Guy Horn, assommé par des médicaments, est découvert inanimé par les policiers dans son lit à son domicile de Ravenel, un petit village de l'Oise. A ses côtés, dans une mare de sang, gît Sandrine Bonnard. Celle-ci a la carotide tranchée. Elle a également reçu une douzaine de coups de couteau, au thorax et dans le dos, ainsi que plusieurs coups de poing au visage.
Rapidement, les enquêteurs suspectent Jean-Guy Horn, qui a un casier judiciaire bien chargé. En 1995, il a en effet déjà été condamné à dix ans de réclusion criminelle pour le meurtre d'une première compagne, Véronique Cammarata. Celle-ci avait été retrouvée morte, avec cinq balles dans le corps et le visage défoncé à coups de crosse de carabine. Un crime pour lequel Jean-Guy Horn avait plaidé coupable. Il était sorti de prison en 2002, soit sept ans après sa condamnation.
Cette affaire présente de nombreuses similitudes avec l'assassinat de Sandrine Bonnard. Déjà, les lieux du crime : les deux assassinats ont eu lieu à Ravenel, à seulement quelques centaines de mètres l'un de l'autre. Ensuite, le mode opératoire : avant d'être tuées, les victimes avaient toutes deux ingurgité de fortes doses d'alcool et de benzodiazépine, un traitement contre l'anxiété et l'angoisse.
Autre point commun : Jean-Guy Horn avait rencontré les deux femmes, dépressives toutes les deux, dans des hôpitaux. Il avait croisé sa première compagne à l'hôpital de Gonesse (Val d'Oise) en 1994, alors qu'il suivait une cure de désintoxication et qu'elle avait tentée de se suicider. Il avait rencontré la seconde en 2005 dans un hôpital psychiatrique, où il était soigné pour des problèmes d'alcool et qu'elle-même se remettait difficilement de la mort de son père.
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«Je ne sais pas ce qui fait que je l'ai tuée, je ne sais pas ce qui s'est passé en moi», a -t-il simplement déclaré.
Malgré de nombreuses analogies entre ses deux crimes, une psychologue a estimé au cours d'une audience qu'il n'y avait pas chez Jean-Guy Horn de «ritualisation» qui évoquerait «une perversion structurée». Ses actes criminels témoigneraient plutôt de son «impulsivité», de «son manque de contrôle».
Selon le psychiatre Daniel Zagury, également venu se prononcer sur la personnalité de l'accusé, Jean-Guy Horn est «incapable de penser la violence», et «se présente comme passif, dominé par les femmes». Le psychiatre a mis en relation ses passages à l'acte notamment avec le fait qu'il ait assisté dans son enfance à une tentative de suicide de sa mère, qui comme ses compagnes, présentait un profil dépressif et alcoolique.
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les psychiatres pourraient s'intéresser aux cycles émotionnels humains : ils auraient alors probablement remarqué un autre indice intéressant :
le premier crime le 3 août 2007 a été commis un vendredi.
le second crime (1) le 27 janvier 1995 c'est également un vendredi.
or je sais que les récidives ont tendance à se produire le même jour de la semaine en raison de pulsions hebdomadaires de notre cycle psychique et émotionnel de 28 jours...
les deux dates nous indiquent déjà qu'il s'agit de deux vendredis, donc intéressant, mais nous donne encore un autre indice "pulsions" :
Août 2007 (pour un vendredi 27 janvier 1995)
Me 1
Je 2 I(17)
Ve 3 P(18) E(8)
Sa 4
Di 5
il s'agit à chaque fois également d'un jour critique physique (autre jour de pulsions) de notre cycle physique et psychique de 23 jours. donc probablement à chaque fois d'un jour doublement critique.
mais ce serait à confirmer au moyen de la date de naissance de l'intéressé. (car il peut s'agir d'un cycle ou des deux, entrant en ligne de compte). mais jours de pulsions similaires en tous cas.
pour le second crime la période critique septennale des 42 ans est aussi présente.
(1) http://www.courrier-picard.fr/courrier/Actualites/Info-regionale/Le-double-meurtrier-du-plateau-picard-aux-assises/LES-REPERES
ces rythmes qui déterminent notre forme et nos humeurs et parfois mènent à des actes incontrôlés...
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