http://www.lepoint.fr/societe/bebe-defenestre-par-sa-mere-ou-son-pere-des-precedents-27-08-2010-1229493_23.php
Bébé défenestré par sa mère ou son père : des précédents.
Après le drame de Toulouse, où une mère de 34 ans est soupçonnée d'avoir défenestré jeudi son bébé de deux semaines, voici les principaux cas d'enfants tués dans les mêmes conditions au cours des dix dernières années.
Janvier 2002 : à l'issue d'une dispute avec sa compagne, un homme de 31 ans défenestre leur bébé d'un mois qui meurt dans sa chute du 4e étage de leur immeuble à Montmorency (Val-d'Oise). Le père se jette ensuite lui-même dans le vide, mais n'est que blessé.
Janvier 2003 : une femme de 19 ans défenestre son bébé depuis le 3e étage d'un immeuble d'un quartier populaire de Montpellier (Hérault) après avoir accouché seule dans sa baignoire. L'enfant est retrouvé au bas de l'immeuble par un voisin, dans la neige et en état d'hypothermie. Il décède ensuite de ses blessures.
Septembre 2005 : une mère de 20 ans défenestre sa petite fille âgée de quelques heures d'un immeuble de six étages à Persan (Val-d'Oise). La jeune femme, qui avait caché sa grossesse à ses proches, venait d'accoucher dans les toilettes.
Mai 2006 : un bébé de neuf mois est retrouvé mort au pied d'un immeuble à Narbonne (Aude), après avoir été défenestré par sa mère, âgée 27 ans, qui reconnaît les faits sans pouvoir donner d'explication à son geste.
Juin 2007 : une femme de 29 ans défenestre son nouveau-né du 8e étage de l'immeuble de ses parents à Chambéry (Savoie), où elle vit. Cette femme, déjà mère d'un enfant de 3 ans qu'elle élevait normalement, avait caché sa grossesse à ses proches et accouché seule dans sa chambre.
Mai 2008 : une mère de deux enfants précipite son fils de 14 mois, dont elle avait perdu la garde, du 5e étage d'un hôtel payé par l'aide sociale à Noisy-le-Grand (Seine-Saint-Denis). Cette femme de 43 ans, en instance de divorce, essaye ensuite sans succès de tuer sa fille de 11 ans avec des médicaments.
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je pense qu'il convient de séparer l'infanticide au moment de l'accouchement, de celui qui intervient plus tard : le premier a souvent un lien avec un déni de grossesse et intervient au moment de l'accouchement. (donc tributaire de la date de celui-ci)
dans les cas cités ci-dessus nous avons trois cas qui sont arrivés au moment de l'accouchement à
- 19 ans (année neutre),
- 20 ans (période critique septennale des 21 ans)
- 29 ans (probable lien avec la période critique septennale des 28 ans).
nous sommes cependant chaque fois tributaire du moment de l'accouchement.
les quatre autres cas arrivent à
- 34 ans (période critique septennale des 35 ans),
- 31 ans pour le père (là il faudrait connaître la situation de la compagne et le jour critique émotionnel du père : 31 ans est une année neutre, mais il s'agit d'une dispute du couple)
- 27 ans (période critique septennale des 28 ans)
- 43 ans (drame de la séparation ayant un lien probable avec la période critique septennale des 42 ans)
analyse "comme on peut" avec les quelques données citées dans l'article.
quelques autres précisions au sujet de ce type de drame et de ces exemples :
- on ne connaît dans aucun des cas cités le jour critique émotionnel de la personne. c'est un élément très important car on peut être ce jour là dans un état très différent de notre état habituel : les drames ont tendance à arriver de préférence ce jour-là - plus qu'un autre jour - en raison d'un effet de pulsions/désinhibition présent à ce moment-là. (1) une personne qui accouche son jour critique émotionnel, ou qui a une dispute ce jour là, sera dans une situation bien plus "à risque" de dépression "froudroyante" par exemple.
- pour les quatre cas arrivés bien après la naissance du bébé nous avons trois cas qui semblent avoir un lien avec une période critique (2). le 4ème cas probablement aussi : il faudrait connaître pour cela l'âge de la mère et épouse de l'homme de 31 ans. (lorsqu'il ya une grave dispute dans un couple il y a le plus souvent une période critique à la clé - de l'un ou de l'autre des partenaires ou parfois même des deux : cela est lié aux pulsions qui surgissent lors de l'arrivée ou en situation d'une période critique septennale ou d'un jour critique émotionnel).
prévention :
on ne peut pas éviter tous les drames, mais on pourrait en éviter une bonne partie.
moments à risques : jour critique émotionnel et période critique septennale sont connus à l'avance.
il faut alors tenir compte du fait que ce sont des périodes lors desquelles peuvent surgir des effets de pulsions accompagné d'une désinhibition. il faut savoir à l'avance et se préparer au risque (heureusement non systématique) d'une possible dépression importante qui peut revêtir des formes longues et tenaces mais aussi des formes foudroyantes (propices alors dans des cas exceptionnels à des coups de désespoir ou coups de folie)
l'effet peut être nettement accentué si nous avons à faire à un jour critique émotionnel situé à l'arrivée ou à l'intérieur d'une période critique septennale.
si nous sommes prévenus à l'avance de ces risques, la situation et le scénario en sont considérablement modifiés...
par exemple dans le cas de la maman qui a défenestré son bébé il y a quelques jours, on sait, si elle a 34 ans, qu'aux alentours de 34 ans et demi elle passe par un cap délicat (pic de pulsions) qui est le moment de l'entrée dans sa période critique septennale des 35 ans. on pourrait encore vérifier si elle a agit son jour critique émotionnel, ce qui est fréquent, s'agissant d'un jour de passage à l'acte...
c'est probablement aussi le même "élément moteur" qui est en cause dans le cas du jeune médecin qui a décimé sa famille récemment, puis s'est suicidé...
(1) il s'agit d'un cycle de sept jours, donc hebdomadaire : nous avons notre jour critique émotionnel chaque semaine toujours le même jour : notre jour de naissance... (cela est lié au fait mathématique qu'il s'agit d'un cycle de pulsations psychiques et émotionnelles de sept jours démarrant le jour de la naissance)
(2) la période critique septennale est une période critique d'un cycle psychique et émotionnel à pulsations septennales. elle démarre environ six mois avant un anniversaire de la table de sept et elle est de durée variable : quelques semaines à un ou deux ans. les périodes critiques septennales sont très importantes car elles peuvent donner lieu parfois à de très graves dépressions et multitude d'autres maux et comportements.
ces rythmes qui déterminent notre forme et nos humeurs et parfois mènent à des actes incontrôlés...
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