disparition

Cécile VALLIN, 17 ans
née le 28 octobre 1979
Cécile a disparu le 8 juin 1997 à St-Jean de Maurienne(73).

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SKCenter - où j'ai trouvé l'article concernant Cécile Vallin - dit dans l'un de ses posts :
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=4657&hl=
"Un automobiliste dira plus tard aux enquêteurs que la lycéenne avait l’air triste, qu’elle pleurait. Depuis, plus aucune trace"

cela me fait penser à un jour critique émotionnel de sorte que je suis parti à la recherche de la situation de Cécile ce jour là (il faut la date de naissance) :

juin 1997 (28/10/1979)
Di 1 E(15)
Lu 2 I(26)
Ma 3 P(12)
Me 4
Je 5
Ve 6
Sa 7
Di 8 E(22)
Lu 9 P(18)
Ma 10 P(19)I(1)
Me 11

et je trouve effectivement un jour critique émotionnel E22 le jour de sa disparition, suivi de la paire de jours critiques physiques P18/P19 dès le dimanche soir.

on peut, à partir de cela, déduire et comprendre certaines choses :

- le jour critique émotionnel est toujours notre jour de naissance car cycle psychique de 7 jours démarrant à la naissance - Cécile est une native du dimanche et dimanche est alors définitivement son jour critique émotionnel.
cela signifie que le dimanche est son jour de blues ou de colère avec de gros coups de déprime possibles (un certain nombre, sinon une majorité, de suicides sont liés à des dépressions foudroyantes survenant notre jour critique émotionnel)

- Cécile a donc effectivement pu être vue par un automobiliste en train de pleurer (c'est notre jour de pleurs parfois "sans raison") le risque étant que c'est jour de fragilité : elle a pu faire une mauvaise rencontre en faisant du stop ou simplement comme çà, ou encore lors d'une envie de fuguer (le jour critique émotionnel est jour des fugues pour les mêmes raisons de coups de blues et/ou de "marre", aussi jour de "prise de risque")...
comme déjà dit c'est aussi le jour du suicide : mais je pense que là on l'aurait probablement retrouvée.

- les natifs du dimanche ont ce problème particulier qu'ils ont leur vie durant leur jour de blues/mauvaise humeur toujours le dimanche... alors qu'il s'agit du jour où tout le monde est censé sortir et s'amuser... jour des activités de loisirs, avec les copains ou en famille. en cela les natifs du dimanche doivent tenir compte de leur jour critique pour comprendre pourquoi ils sont souvent des "bernard lhermitte" alors que leur entourage doit également en tenir compte. un natif du dimanche, son jour critique émotionnel toujours ce jour là, peut parfois en devenir quasi asocial...

- dans le cas de Cécile l'arrivée d'un down physique que constituent les jours P18/P19 n'a pas dû arranger son état. (c'est un jour où on peut être "mal fichu" physiquement). P18/P19 est aussi un équivalent du jour critique émotionnel ce qui va pouvoir accentuer un effet de dépression. je découvre d'ailleurs qu'elle est partie dimanche soir à 18 heures : c'est un moment pulsion/charnière (la journée chronobiologique va de 18H à 18H) auquel elle sort en principe de son jour critique émotionnel du dimanche pour entrer dans le jour critique physique de lundi.

il faut toujours avoir présent à l'esprit que notre jour critique émotionnel est notre "jour des bêtises et des coups de tête" : envies de fugues et envies de suicide, par exemple, sont de ce jour là, de préférence, en raison de pulsions naturelles de notre cycle psychique hebdomadaire : si on le sait on voit les choses différemment et on y pense avant d'avoir des comportements pouvant donner lieu à des drames. il faut pour cela relativiser des problèmes qui, notre jour critique émotionnel, nous semblent insurmontables : c'est notre jour critique qui en fait nous a fait chausser des lunettes grossissantes...

édit 25/05/2015 : nous sommes aussi à cinq mois de l'anniversaire. (élément "dépression")