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Viguier: un "homicide involontaire" ?
Un des avocats de la partie civile a plaidé aujourd'hui à Albi les coups et blessures ayant entraîné la mort sans intention de la donner pour expliquer comment le professeur de droit toulousain Jacques Viguier aurait tué son épouse Suzanne le 27 février 2000.
"La question qui se pose est : l'a-t-il tué volontairement, involontairement ou par accident", a résumé Me Guy Debuisson, un des avocats des soeurs de Suzanne, devant la cour d'assises du Tarn, qui juge en appel Jacques Viguier.
Pour lui, Jacques Viguier ne voulait pas divorcer et a "dégoupillé" lors d'une énième dispute avec son épouse qui avait pris rendez-vous le lendemain pour entamer une procédure de divorce. "C'est une dispute conjugale qui se termine malheureusement par un geste fatidique qu'il n'a pas voulu commettre", a-t-il estimé.
Source : AFP
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ce que j'appelle parfois une "radiographie de l'état du moment" permet d'avoir une idée de l'état du moment... des personnes, en fonction de leur situation cyclique.
ce n'est pas une preuve, mais une indication ou un indice intéressant : jours et périodes critiques peuvent être nos périodes Hyde et pour cela devenir dans certains cas jour de colère, disputes et dérapages, meurtre, suicide, mais aussi dépression foudroyante et fugues, etc... etc... en tous cas "jours de possibles comportements inhabituels ou à risque". (possibles bien plus ce jour là et/ou cette période là, que tout autre jour ou période)...
sachant qu'en cas de situation à problème (tensions, altercations qui dérapent) on retrouve très fréquemment voire le plus fréquemment les éléments déclencheurs suivants :
- période critique septennale : elle semble y être pour Jacques Viguier s'il a 42 ans au moment des faits...
- jour critique émotionnel : y a-t-il un natif du dimanche (elle ou lui) ?
- jour critique physique
- et d'autres indices moins importants mais indices quand même.
sinon j'ai trouvé :
"Son épouse (38 ans en 2000) découvre la vérité (des infidélités ndlr) en 1995 (période critique septennale des 35 ans de l'épouse) en tombant sur un courrier sans équivoque qui est adressé à Jacques.
A partir de ce jour, Suzanne Viguier décide de faire chambre à part et dort seule à l'étage sur un canapé-lit. Elle refuse de divorcer afin de conserver une cellule familiale pour ses enfants. Cette situation dure jusqu'en juillet 1998.
C'est à cette époque qu'elle fait la connaissance d'Olivier qui va devenir son amant. En quelques mois, le mari, la femme et l'amant vivent quasiment sous le même toit.
.......
Fin février 2000 Suzanne Viguier se décide: Elle va divorcer. Et c'est la veille de son premier rendez-vous avec son avocat qu'elle disparaît dans des circonstances mystérieuses.
Le samedi 26 février 2000, Suzanne quitte Toulouse en compagnie de son amant pour participer à un tournoi de tarot. Pendant le tournoi tout se passe bien et rien ne laisse présager du drame à venir.
Le dimanche 27 février 2000 Oliver la dépose chez elle à 4 heures 30 du matin. Avant de le quitter elle lui donne rendez-vous le dimanche après-midi à 14 heures.
édit 22/03 :
Jacques Viguier est né à Toulouse, le 16 octobre 1957.
finalement trouvé une date de naissance... et par conséquent une situation :
février 2000 (16/10/1957)
Je 24
Ve 25 P(17)
Sa 26 P(18)
Di 27 P(19)
Lu 28
je n'ai pas trouvé le natif du dimanche que je supposais, ce qui est déjà intéressant. le problème étant à présent que les downs physiques P18 et P19 sont aussi jours de pulsions, mais un peu différemment (jours critiques physiques).l'âge 42 ans et 4 mois : période critique septennale des 42 ans mais le "pic de pulsions" le plus important se situant dans la première partie de la période critique (41 ans et demi) est passé, mais nous restons toutefois dans la période critique septennale, pleine période critique même.
resterait à connaître la situation de Suzie... au moyen de sa date de naissance...
(vu qu'ils se sont rencontrés semble-t-il en 1985 on peut déjà noter qu'il s'agit d'une rencontre "septennale" Jacques Viguier ayant 28 ans à ce moment là).
"L'alibi de Jacques Viguier repose, en effet, sur un jogging qu'il aurait effectué le matin même de la disparition de son épouse." est un autre élément qui m'intéresse.
bizarrement un P18/P19 si j'avais à le classer, est un jour de l'anti-jogging... car jour de fatigue.
et encore :
"Le 4 mars dernier, Emilie Maillé, qui partagea la vie de Jacques Viguier, son ancien professeur, de 2001 à 2008, a brossé le portrait pathétique d'un maniaco-dépressif (pathologie diagnostiquée en 2005) qu'elle ne sait plus aimer.
là çà me va puisque c'est la période critique septennale des 48 ans, et que le trouble bipolaire a le plus souvent un lien avec les périodes critiques, surtout pour son "démarrage" mais aussi ses "crises"..
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