jeudi 25 février 2010

violences conjugales

il en est à nouveau question. alors rappelons que nos rythmes et cycles sont ici aussi intéressants à observer et prendre en compte :

si l'on analyse un scénario de violences on risque de trouver fréquemment les éléments déclencheurs ou propulseurs habituels que sont nos périodes de pulsions physiques et psychiques. (voir mes posts précédents au sujet de certains faits divers récents de l'actualité)...

c'est aussi à ce niveau qu'il serait possible d'agir au moyen d'une information et d'une éducation des personnes :

- notre jour critique émotionnel est notre "jour de colère" : c'est fréquemment ce jour là (attention, dès la veille au soir) que l'on a tendance à être pris de sentiments de colère. on est toujours de mauvaise humeur le même jour de la semaine : celui où on est né, simplement parce qu'il s'agit d'un cycle de l'humeur de sept jours qui démarre le jour même de notre naissance et va induire des "pulsations" hebdomadaires parfaitement régulières.

c'est donc notre jour critique émotionnel que nous devons prendre garde de ne pas nous mettre en colère de façon futile et injustifiée, alors que nous y sommes tentés.
c'est aussi ce jour là que ceux qui sont enclins à être violents risquent de déraper. on le retrouve régulièrement lors de drames et de violences.

une fois qu'on le sait on arrive à bien mieux comprendre et se contrôler.

- notre période critique septennale : elle fonctionne exactement de la même façon que le jour décrit ci-dessus mais en plus long. c'est une période à risque de grande irritabilité qui va nous arriver chaque septième année de notre vie et durant un certain laps de temps autour de cette année. un moment pic est situé six mois avant l'arrivée d'un anniversaire de la table de sept.
durant cette période critique septennale nous pouvons être très déprimés mais cela peut aussi nous conduire à devenir "exécrables" et certains, violents envers leur entourage.
là aussi, le savoir aide à gérer.

si l'on analyse un drame arrivé (violence contre les autres ou contre soi par exemple) on risque de trouver fréquemment l'un des éléments déclencheurs, ou les deux (puisqu'ils amplifient l'effet s'ils se retrouvent ensemble) dont il est question ci-dessus.

d'autres éléments peuvent encore jouer un rôle, bien que moins fréquemment :
- la proximité d'une date d'anniversaire peut rendre certaines personnes dépressives, et parfois alors violentes.
- un cycle de l'énergie physique comportant un jour de "down" chaque sixième jour : chez certaines personnes ce jour de down physique (fatigue, mal-être) devient parfois jour de down moral et donc il peut se transformer en jour de colère et d'agressivité. ce jour est également jour de pulsions physiques qui peuvent donner lieu à de l'agressivité.

et enfin il faut ne pas oublier de citer les effets de l'alcool, l'une de nos drogues préférées, à laquelle on n'ose pas s'attaquer trop sérieusement pour des raisons économiques probablement, mais aussi parce qu'un sevrage serait certainement douloureux et difficile à gérer.
l'alcool est fréquemment présent lors de violences : il a un effet de désinhibition en nous faisant mettre en retrait voire oublier notre raison et nos limites habituelles.
cet effet de désinhibition est un peu le même que celui qu'opère la chimie de nos rythmes et cycles, et c'est la raison pour laquelle il m'arrive d'appeler certains comportements d'un jour critique émotionnel ou de la période critique septennale une ivresse de nos rythmes émotionnels...
cette ivresse est alors le résultat de l'effet de pulsions/désinhibition provoqué lors de la survenue de ces jours et périodes très particulières de nos rythmes et cycles.

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