jeudi 7 janvier 2010

drames, familiaux, conjugaux... et autres...

il faut nous y intéresser A L'AVANCE, avant qu'ils n'arrivent, puisque l'on sait quand ils peuvent survenir :

- à l'arrivée d'une période critique septennale, ou une fois que celle-ci a démarré.
il s'agit des périodes critiques de notre cycle psychique et émotionnel septennal : les périodes de temps situées autour de nos années multiples de sept, plus précisément les suivantes :

- de 6 ans et demi à 8 ans
- de 13 ans et demi à 15 ans
- de 20 ans et demi à 22 ans
- de 27 ans et demi à 29 ans
- de 34 ans et demi à 36 ans
- de 41 ans et demi à 43 ans
- de 48 ans et demi à 50 ans
- de 55 ans et demi à 57 ans
- de 62 ans et demi à 64 ans
- de 69 ans et demi à 71 ans
- de 76 ans et demi à 78 ans
- de 83 ans et demi à 85 ans

à première vue çà paraît incroyable et on n'y croit pas, et pourtant en y regardant de plus près (mon post précédent - 42 ans) (le papa qui a tué ses trois filles à Haguenau avant de se suicider 49 ans) et la plupart des autres drames arrivés... (mes très nombreux posts précédents concernant les drames familiaux et conjugaux, les infanticides, etc...) ils sont souvent arrivés "à la faveur" de la situation en période critique septennale de l'une ou l'autre personne impliquée.

pourquoi ? il existe un cycle, probablement hormonal, non encore découvert par la médecine, qui fait que nous passons tous les sept ans par une période très particulière qui va modifier momentanément notre état psychique. c'est comme une crise d'adolescence tous les sept ans, en fait...
dans la grande majorité des situations il n'y a pas de gros problèmes hormis des risque de perte de motivation ou de dépression, ou encore de mésentente momentanée...

mais dans certains cas, peu nombreux, il peut survenir des épisodes dépressifs très perturbés et cela peut donner lieu aux séparations des couples et aux drames que l'on connaît. (la majorité des couples d'une certaine ancienneté se séparent en raison de la survenue d'une période critique septennale, mais les plus jeunes aussi).

il faut donc prendre connaissance de ce mécanisme et repérer A L'AVANCE les périodes critiques ou "périodes à risque" qui nous arrivent à tous systématiquement, avec des effets variables. et il faut que les professionnels arrivent à distinguer A L'AVANCE les comportements à risques tels des dépressions et des violences surgissant subitement après de longues années d'entente, au moment de l'arrivée d'une période critique septennale.
et ce n'est pas la prison qui résoud les problèmes mais la discussion et si nécessaire le psychiatre : la prison peut parfois fabriquer des monstres lorsqu'ils en sortent (Haguenau).


- un autre élément très important est notre jour critique émotionnel : c'est un équivalent, en petit, de la période critique précédemment citée, et qui survient chaque septième jour de notre vie : toujours le jour de la semaine où nous sommes nés parce que cycle de sept jours...

ce jour là, dans les conditions normales, nous risquons d'être un peu plus mélancoliques, parfois de mauvaise humeur, sans plus.
mais dans les situations et chez les individus "à problème", ce jour là peut se transformer en jour de colère, de rage : c'est le jour des forcenés, des violences et des suicides et justement des infanticides et des drames conjugaux et familiaux.

comme ce jour est lui aussi CONNU A L'AVANCE, nous devons nous y intéresser car il nous permet de détecter à l'avance un risque de dérapage. une menace ou une violence un jour critique émotionnel est toujours à prendre très au sérieux car il y a risque de récidive voire d'escalade lorsqu'arrivera le jour critique émotionnel suivant. (la mère du quintuple infanticide de Nivelles avait alerté et appelé à l'aide le mercredi (son jour de naissance donc toujours son jour critique émotionnel) avant de tuer ses enfants le mercredi suivant)...

Aucun commentaire: